... Dickinson, Justice et justiciables : la procédure civile à la Prévôté de Québec, 1667-1759, Les Cahiers d’histoire de l’Université Laval, Québec, Presses de l’Université Laval, 1982, p. 39). 44. ...

Domaine du roi, 1652-1859 (Le)
... Le système seigneurial depuis le lac Saint-François jusqu’au Labrador et Gaspé Certes, la vallée du Saint-Laurent fut le lieu des premiers pas coloniaux français. Le modèle de mainmise instauré fut celui du Régime seigneurial. ...
... Françoise Niellon, « Du territoire autochtone au territoire partagé : le Labrador, 16501830 », dans Pierre Frenette dir., Histoire de la Côte-Nord, Québec, Institut québécois de recherche sur la culture (IQRC), Presses de l’Université Laval, 1996, p. ...
... l’avènement et la structuration de la souveraineté française… 37 Les Gaspésiens [les Micmacs] disent que le castor est le bien-aimé des François & des autres Europeans, qui les recherchent avec avidité ; & je n’ai pû m’empêcher de rire, entendant un ...
... Lucien Campeau, « Aubert de La Chesnaye, François », Dictionnaire biographique du Canada, vol. ii. 67. Morin, loc. cit., p. 121. 68. ...
... Colonies, vol. 5, fo 291v, Duchesnau au ministre, Québec, 13 novembre 1681, cité dans Arnaud Balvay, L’Épée et la Plume : Amérindiens et soldats des troupes de la marine en Louisiane et au pays d’en haut (1683-1763), Québec, Presses de l’Université Laval ...
... Cité dans Arnaud Balvay, L’Épée et la Plume, Québec, Presses de l’Université Laval, 2008, p. 84. ...
... En 1712, il écrivait que « tous ces actes de prises de possession par les François et de soumission de la part des sauvages sont soutenus par plusieurs forts que les François y font bastir ». ...
... Tirée de Raymonde Litalien, Jean-François Palomino et Denis Vaugeois, La Mesure d’un continent. Atlas de l’Amérique du Nord (1492-1814), Québec, Septentrion, 2008, p. 98. ...
... La médiation et l’arbitrage ne s’arrêtaient pas à régler des différends entre les groupes indiens ; on en appelait aussi au gouverneur pour nommer des chefs que l’on « tiendroit comme François ». […] je desirois qu’il [Chomina] fust recogneu pour Capitaine ...