Nos livres font parler d'eux
La Cadie, frontière du Canada
Nicoals Landry nous présente ici un travail exhaustif sur le peuplement du territoire acadien pendant de nombreuses générations par les Micmacs, en déplacements saisonniers, avant la venue d'Euro-Canadiens.
C'est un volume riche, chargé de notions essentielles, avec une abondance de tableaux et d'illustrations, une bibliographie généreuse et un index comportant des centaines de noms de gens et de lieux. À découvrir absolument!
Jacques Olivier, L'AncêtreVie dans les camps de bûcherons au temps de la pitoune (La)
Un très joli livre qui jette un éclairage sur une époque oubliée.
Ronald Lavallée, Écoutez L'Estrie (Radio-Canada)Vertige des insectes (Le)
Maude Veilleux propose un roman personnel et introspectif qui plonge dans la psyché tourmenté d'une jeune femme. La jeune auteure dépeint avec brio ses inquiétudes rattachées à la solitude, dans un style simple et fluide, traversé de phrases chocs. À l'instar de Mathilde, nous avons l'impression de sombrer dans la tristesse qui envahit graduellement ses jours, sans cesse plus amers.
Ariane Gélinas, Le voyage insolite (CFOU FM)Chroniques d'une fille indigne (Les)
Livres de mamans pour mamans
On me demande souvent quel livre j’offrirais en cadeau à une amie nouvellement maman. Il y en a tant ! Pour la faire rire,léger, rien de compliqué là…. Une fois à la maison, nouvellement maman, lorsqu’on apprend à vivre au rythme de bébé, il est vrai qu’on cherche parfois à lire plus léger. On cherche parfois à s’évader. Je trouve que les petites lectures courtes sont géniales parce qu’on peut prendre le livre et le déposer pour reprendre la lecture…après le changement de couche ! Voici quelques grands crus…
Katry Ann Beaudoin, Livret de grossesse (blogue)Aventures de Radisson, t.2 (Les)
Qu'il s'agisse du passage de Radisson dans Paris dévasté, d'un mariage aux Trois-Rivières, de pourparlers avec les Iroquois ambigus, d'une chasse à l'orignal ou de l'emprise des Jésuites sur les esprits et les coeurs, la qualité des descriptions et des détails pratiques favorise une meilleure intelligence de la réalité historique.
Raconté avec un intérêt soutenu, le quotidien aventureux d'un Radisson robuste et intelligent, que l'Histoire retient comme un pionnier remarquable, passionne.
Franc, solidement documenté, littérairement convivial, ce récit dissout les clichés de notre inculture.
Les autorités responsables d'une nouvelle orientation pédagogique pour l'enseignement de l'Histoire y découvriront un filon dynamique et emballant.
Michel-Ernest Clément, LureluVie dans les camps de bûcherons au temps de la pitoune (La)
Divisé en courts chapitres traitant chacun d’un sujet en particulier (la journée du cook, le travail du bûcheron, les salaires, etc.), le livre nous dresse un portrait court mais global de diverses facettes de la vie de chantier. Cela se fait de façon sympathique puisque c’est à travers l’exemple de ses parents, et de ceux qu’ils côtoient, que nous sont présentées ces réalités, d’autant plus que de nombreuses photos de famille viennent illustrer les propos de l’auteure.
Pierre Labrèche, L'Indice BohémienDans le sillage des Patriotes, 1838
L'ouvrage est fort bien présenté, avec de nombreuses aquarelles et dessins en noir et blanc et plusieurs en couleurs, de Jane Belfour. De plus, les coauteurs de l'édition ont su y intégrer plusieurs notes en bas de page, pour en faciliter la lecture et mieux nous faire connaître ces personnages qui ont marqué une période troublée de l'histoire québécoise.
Jacques Fortin, L'AncêtreVivre la Conquête, tome 1
Vivre la Conquête nous permet de réaliser à quel point la guerre de Sept Ans et la Conquête de 1760 modifièrent le destin de bien des Canadiennes et Canadiens issus de toutes les couches sociales et qui agissaient dans différents domaines économiques de la Nouvelle-France.
Jeanne Maltais, L'Ancêtre1763. Le traité de Paris bouleverse l'Amérique
La profondeur des propos et la qualité de la présentation, agrémentée de nombreuses illustrations de l'époque, sont exceptionnelles.
Ce collectif, dont les auteurs sont issus de divers horizons, a de quoi occuper nos lectures mais aussi nos réflexions. On aborde une période de notre histoire nationale qui ne nous laisse pas indifférents, car certains thèmes ne sont jamais loin de l'actualité.
Louis Richer, L'AncêtreCouturières de Montréal au XVIIIe siècle (Les)
Le sujet de cette étude n'est pas banal et les sources pour le traiter ne sont pas des plus abondantes. Pourtant, l'auteure, formée en dessin de mode et en haute couture, réussit à tracer un judicieux portrait de ces femmes quasi inconnues ou du moins longtemps ignorées.
Gilles Laprade, Mémoires de la Société généalogique canadienne-françaiseVertige des insectes (Le)
Un roman dense, réussi. Un monde vous aspire et vous broie. Maude Veilleux place les éléments du piège et le lecteur est cerné peu à peu. La fin ébranle, surprend, vous fige.
Des atmosphères, des déplacements tectoniques qui remuent les profondeurs et broient l'être. Un véritable jeu d'échecs où tous les éléments poussent vers l'inéluctable. Un drame qui donne des frissons dans le dos, écrit avec délicatesse.
Yvon Paré, Littérature du Québec (blogue)Vivre la Conquête, tome 1
Parmi les ouvrages consacrés à la Nouvelle-France parus récemment, Vivre la Conquête retient particulièrement l'attention. Son mérite ? La petite histoire, celle de simples citoyens, s'imbrique dans l'histoire avec un grand H, celle de la déportation des Acadiens et de la Conquête.
Micheline Lachance, L'Aut'JournalBien public (1909-1978), (Le)
Dans cette étude, Maude Roux-Pratte n'a négligé aucune source susceptible d'approfondir son sujet. Elle a dépouillé plusieurs fonds d,archives et des correspondances privées qui lui ont permis d'éclairer d'un jour nouveau l'histoire sociale et économique du journal et de la maison d'édition.
Jacques Michon, Les Cahiers de lecture de L’Action nationaleDans la caméra de l'abbé Proulx
Rondement menée, la démonstration de l'auteur brise les tabous et les stéréotypes que plusieurs contemporains entretiennent sur le Québec rural d'avant 1960.
Le livre de Marc-André Robert participe grandement à renouveler l'histoire du passé canadien-français.
Claire Portelance, Les Cahiers de lecture de L’Action nationaleEspion en Amérique
Éric Thierry a publié un livre nécessaire pour toute personne s'intéressant aux balbutiements de l'Amérique. Non seulement le lecteur peut se familiariser avec les écrits de Champlain, mais le travail explicatif de l'auteur permet par le fait même de comprendre tout le contexte historique qui les entoure. Ses annotations donnent des repères géographiques, des spécifications de dates, mais aussi des rectifications de ce que Champlain dit. Loin d'idolâtrer l'explorateur, Thierry tente de dresser un portrait vraisemblable de ce qu'il a rapporté à travers ses écrits. En plus d'avoir fait une impressionnante recherche en archives, Éric Thierry a réussi à vulgariser les écrits d'un des plus grands personnages de la Nouvelle-France.
Alexandra Carignan, Les Cahiers de lecture de L’Action nationaleCorriveau (La)
La Corriveau est un essai solidement documenté et de lecture agréable. S’ils ne cachent pas leur sympathie envers Marie-Josephte, les auteurs reconnaissent l’impossibilité de l’innocenter sur la base des documents qui nous sont parvenus. Le mystère demeure autour de cette femme dont la personnalité nous échappe.
Dave Noël, Le DevoirApparition du Nord selon Gérard Mercator (L')
Le jury a été particulièrement impressionné par la rigueur et l'originalité de l'ouvrage, la qualité de son écriture, de même que sa facture exceptionnelle.
Jury, Prix Hubert-ReevesVie dans les camps de bûcherons au temps de la pitoune (La)
C'est un très bon livre; court et complet.
Chantal Verville, Renaud-Bray VictoriavilleLa Cadie, frontière du Canada
Une très belle étude, bien écrite et bien documentée.
Chantal Verville, Renaud-Bray VictoriavilleChaque automne j'ai envie de mourir
37 textes immenses. 37 humanités bouleversantes. 37 cris sublimes qui, à chaque page donnent envie de vivre.
Grégoire Delacourt, Le blog de Grégoire DelacourtMouvement naturel des choses (Le)
L'écriture est alerte et la trame, comme la vie qui semble l'inspirer, en dents de scie. Il n'en demeure pas moins qu'on a envie d'accompagner le narrateur jusqu'au bout de cette étape de vie en espérant une fin heureuse, chèrement payée en émotions et en sentiments divers.
Jean-François Crépeau, Le Canada françaisAventures de Radisson, t.2 (Les)
Après le succès et le prix du Gouverneur général pour le premier tome, voici la suite des aventures de ce personnage historique remarquable. La vie de Radisson est, encore une fois, pleine de rebondissements et l’emmène en France, pour mieux revenir dans les colonies. On découvre dans ce roman un pan de notre histoire, peuplé de personnages flamboyants aux destins plus grands que nature. À découvrir!
Amélie Fournier-Gagnon, Coop ZoneVivre la Conquête, tome 1
Un très beau livre, très agréable à lire et très intéressant qui nous permet de vivre la Conquête de l'intérieur.
Chantal Verville, Renaud-Bray VictoriavilleVie dans les camps de bûcherons au temps de la pitoune (La)
La vie dans les camps de bûcherons au temps de la pitoune est un document très visuel, facile à aborder et donc, tout public. Beaucoup de photos d'époque illustrent les différents travaux dans les camps et la vie quotidienne des bûcherons. Plusieurs annexes sont ajoutées en fin de volume. On y trouve de l'information diverse et variée, des statistiques, des chansons de camp, un menu et même quelques recettes d'époque!
Un très bon livre, bien documenté et captivant. Le bûcheron étant bien souvent au coeur de l'imaginaire québécois, tant dans les contes que comme personnage folklorique, il est très intéressant de remettre les pendules à l'heure et d'en apprendre plus sur la vie de ces hommes (et femmes!) des bois.
Geneviève Bolduc, Un thé à la bibliothèqueSaccades
Chacune des nouvelles de ce livre propose une ambiance et des personnages bien distincts. Pas de fil conducteur souligné à grands traits, à part peut-être un certain désir d'aller de l'avant, sans savoir si ce sera mieux ou pire. Mais entre ce chef qui peine à trouver son inspiration et ces jeunes soeurs qui tentent de revoir leur père alcoolique une dernière fois, on s'abandonne avec grand plaisir dans ce bouquet d'histoires né sous la plume bien tournée d'une auteure de Québec.
Julie Roy, Coup de pouceVertige des insectes (Le)
Maude Veilleux nous offre un récit troublant, une lente implosion d’un personnage qui vit le départ d’êtres chers. Au cœur de son appartement, Mathilde dépérit, remet tout en question. Au centre de cet univers, l’absence, qui se traduit par un secret qu’elle se retient de partager au départ et qui la consume tout au long de ce roman.
Cette déprime se glisse dans le texte, qui évite les clichés et la lourdeur des dérives émotionnelles qui l’agitent et la figent. Des émotions à fleur de peau qui, comme pour ses amis, laissent le lecteur en périphérie, incapable de percer la carapace dans laquelle se cloisonne la jeune femme. Ce premier roman d’une écriture fluide va à l’essentiel sans se perdre dans les méandres du pourquoi et du comment (ce qui déstabilise parfois, comme dans le mouvement final). La métaphore de la main de fer dans un gant de velours s’applique pour ce récit intimiste. Le résultat ne laisse pas le lecteur indemne.
Jean-François Villeneuve, La PresseVertige des insectes (Le)
Profondément émouvant, ce premier bijou de l'auteure ne saurait être plus unique et mémorable.
Le Vertige des insectes est un texte tout à fait singulier dans lequel Maude Veilleux confronte avec force le lecteur au désarroi de Mathilde. L'auteure nous fait passer par une grande gamme d'émotions, avant de nous laisser sur une impression puissante.
Jean-François Lebel, La bible urbaineHydro-Québec et l'État québécois, 1944-2005
La puissance de la poésie des mots choisis par Johnson montre à quel point l'importance de cette construction identitaire dans l'imaginaire québécois. Car l'identité d'une nation ou d'un peuple se bâtit essentiellement par des référents imaginaires, mais concrets, n'en déplaise à plusieurs qui souhaiteraient l'imposer par des slogans, des logotypes ou une Charte des valeurs. L'ouvrage de Stéphane Savard constitue un apport considérable, à cet égard, à une meilleure compréhension de ce que constitue l'imaginaire identitaire québécois.
Ianik Marcil, Le Huffington PostSaccades
Le recueil est accessible. L'écriture de Maude Poissant est vraiment intéressante. Elle est capable d'éviter les clichés, de s'adapter à plusieurs personnages avec plusieurs niveaux de langage. C'est une découverte. Une nouvelle auteure qu'on va suivre.
Sophie Ginoux, CIBL (Catherine et Laurent)Lesage. Le chef télégénique
C'est passionnant. J'ai adoré.
Joël Le Bigot, Samedi et rien d'autre (Radio-Canada)Saccades
Un recueil de nouvelles qui rocke.
Marie-Ginette Guay, CKRL (Les Matins éphémères)Saccades
Très joliment écrit. Très joliment raconté. C'est prometteur pour la suite. On a dévoré.
Yvon Paré et Jean-François Coulombe, La fin de semaine est à 7 heures (SRC Saguenay)Vertige des insectes (Le)
Une grand-mère aimée qui est rappelée par son Créateur et son amoureuse qui s’exile au Yukon, c’en est trop pour Mathilde qui se replie sur elle-même dans sa douleur. Maude Veilleux exprime très bien ce désarroi qui peut nous toucher à tout instant quand ce à qui ont tient n’est plus. Le vertige des insectes est un roman certes mais une belle étude de la souffrance de l’âme. Avec cet opus c’est un joyau de plus pour l’éditeur Hamac qui définitivement sait très bien choisir ses titres.
Daniel Rolland, Culture Hebdo.comArt de la guerre (L')
«L'ouvrage a fait l'objet de nombreuses traductions et éditions commentées depuis sa première publication en Occident, en 1772. Celle que proposent maintenant les éditions Nouveau Monde est particulièrement séduisante. Il est impossible d'apprécier réellement l'oeuvre de Sun Tzu sans la situer dans son contexte historique et culturel. Les commentaires d'Alain Thote sont de haut niveau et l'iconographie, d'une rare somptuosité»
Michel David, Le DevoirSaccades
Un recueil de nouvelles à vous jeter par terre
Nous vous le disons tout de go, nous craquons pour Saccades ce très beau recueil de nouvelles de Maude Poissant. Peut-être parce qu’il y a, bien que chaque nouvelle ait son identité propre, un dénominateur commun qui est de la difficulté d’être. Une nouvelle vaut à elle seule le détour, c’est « Fragments de désirs amoureux » avec le portrait d’un homme rigide. Autant de tableaux qui illustrent le poème d’Aragon « C’est ainsi que les hommes vivent ».
Daniel Rolland, Culture Hebdo.comTéléroman québécois (Le)
Je ne suis pas une grande amatrice d'études, j'aime mieux lire pour me divertir. D'au autre côté, j'aime regarder les séries et téléroman québécois et j'aime l'histoire. J'ai réussi dans Le Téléroman québécois à conjuguer tous mes intérêts. Revisiter les téléromans que j'ai eu le plaisir de regarder en lisant une analyse en fonction de différentes thématiques comme la place de ceux-ci dans la société m'a tout à fait passionnée.
Madame Legris, professeure universitaire, nous propose une étude bien documentée qui saura ravir les amateurs de téléromans. Chapeau pour ce merveilleux ouvrage de référence sur le téléroman québécois.
Mylène Lavoie, Pause lectureVie dans les camps de bûcherons au temps de la pitoune (La)
Une autre facette de la vie des bûcherons. À découvrir.
Catherine Perrin, Médium large (SRC)Tout foutre en l'air
Cet essai, s'il n'est pas sans faille, devrait alimenter une sérieuse réflexion sur l'état de l'enseignement collégial, 50 ans après da création.
Jean-François Crépeau, Le Canada françaisSi tu passes la rivière
Un roman d'une douceur épatante, là où François représente ce que l'humanité a encore de plus beau à offrir : la pureté. Un livre d'une grande sensibilité qu'il fait bon lire et où les silences ont toute leur importance.
Marie-Josée Turgeon, Au fil des pagesHydro-Québec et l'État québécois, 1944-2005
La grande qualité de cet ouvrage est d’insister sur le fait que l’image que les Québécois se font d’Hydro-Québec est affaire de représentation, qui découle elle-même d’une iconographie médiatisée complexe à laquelle personne n’échappe. Ainsi, la réflexion sur l’instrumentalisation politique de la société d’État est-elle menée avec grande intelligence.
Ce que cet ouvrage fait avec beaucoup de lucidité, c’est de présenter une réflexion sur l’histoire d’Hydro-Québec en insistant sur le fait que l’idée que nous nous en faisons demeure une construction et une vue de l’esprit.
Éric Dupont, L’actualitéHydro-Québec et l'État québécois, 1944-2005
L’auteur propose une histoire politique d’Hydro-Québec à travers laquelle il met en évidence l’ampleur et la densité des projets menés par l’organisation, et de ce fait leur influence sur la société québécoise tout entière, jusque dans le mode de vie des citoyens. Il rassemble dans une problématisation d’ensemble les différentes dimensions qui avaient été jusqu’à maintenant étudiées de façon segmentée.
Maude Flamand-Hubert, Niche-CanadaHydro-Québec et l'État québécois, 1944-2005
Il publie un essai significatif sur le rôle qu’Hydro-Québec au eu sur l’édification de la société québécoise.
Ce livre fera date pour mieux comprendre l’importance d’Hydro-Québec sur nous et les Premières Nations.
Daniel Rolland, Culture Hebdo.comHydro-Québec et l'État québécois, 1944-2005
Aujourd'hui, même si ça demeure un ouvrage spécialisé, Hydro-Québec et l'état québécois en intéressera plus d'un, ne serait-ce que parce que son principal sujet laisse rarement indifférent. Un nombre considérable de livres et articles ont été écrits sur Hydro-Québec et sur l’affirmation identitaire des québécois à travers les institutions politiques créées au cours du siècle dernier. Celui de Stéphane Savard se démarque par son attention aux aspects territoriaux de ces dynamiques (espace, modernité, rapport à la nature, etc.) et par les liens qui sont établis entre les représentations symboliques et leurs effets matériels.
, Zone CultureDans la caméra de l'abbé Proulx
Cette parution nous fait voir qu'au-delà de la parole de Dieu que l'Église tenait à parsemer, quelques individus pouvaient parler en termes plus libres de modernité.
Martin Blais, L'Indice BohémienTéléroman québécois (Le)
Mme Legris est d'une telle vivacité et d'une telle justesse de ton que j'adhère sans discussion à ses conclusions qui, entre autres, illustrent comment le téléroman a évolué et comment l'image proprette et idéalisée de notre société d'autrefois est presque devenue le reflet de la diversité culturelle qui nous caractérise. Le téléroman projette également nos travers, ce que relève l'essayiste en proposant des questions éthiques et sociologiques.
Jean-François Crépeau, Le Canada françaisExode québécois. 1852-1925 (L')
Des destins riches en péripéties, parfois heureuses, souvent dramatiques. L'ensemble donne un portrait passionnant de la société de cette époque, particulièrement des années 1870 à 1909, période où la plupart des lettres ont été écrites. Ils sont d'ailleurs attachants, les enfants de Théodore-Jean.
David Lonergan, GrafficiExode québécois. 1852-1925 (L')
Quel beau livre! Il est un peu inhabituel d'amorcer un compte rendu avec une telle expression qui synthétise mon jugement à l'égard du livre. Pourtant cette expression est fort appropriée pour saluer les mérites de l'ouvrage de Mario Mimeault.
Marcel Martel, Histoire socialeChemises bleues (Les)
La biographie écrite par Hugues Théorêt demeure un bon ouvrage qui permet de connaître les principaux pans de la vie d'Adrien Arcand. Elle saura sans doute plaire aux amateurs d'histoire et de biographies.
David Rajotte, Histoire sociale