... À titre de directeur général des relations internationales (19701973), j’avais eu constamment à traiter avec le Conseil du Trésor. ...
Amour du livre (L’)
... Le « train » est parti. On ne tolère pas d’exception. Pas de passe-droit ! Au-delà de cette heure, les nouveautés sont retenues pour le prochain office. ...
... Par précaution, j’ai demandé au chargé de projet, Guillaume Binns, d’exiger des photographies des illustrations, c’està-dire de traiter celles-ci, surtout les graphiques, comme des images. ...
... Plus tard, je croiserai Guy Des Cars à Paris. Rencontre pénible. L’homme est prétentieux. Présente, madame Chapdelaine, la femme du délégué général Jean Chapdelaine, avait alors décidé de ne plus le lire. Je n’avais pas à prendre une telle décision. ...
... Si c’est un essai, donner un aperçu du sujet traité, de l’intérêt qu’il peut susciter, de l’à-propos d’une publication, puis préciser les qualifications et l’expérience de l’auteur. Et aussi les raisons du choix de l’éditeur pressenti. ...
... Un éditeur professionnel n’aurait pas eu droit au même traitement. Langlois avait bien fait de s’auto-éditer. Bref, l’évaluation des manuscrits reçus conduit, semaine après semaine, à des refus. On peut être six mois sans rien retenir. ...
... Dans les quotidiens 50,6 % des livres traités étaient québécois et 49,4 % étaient étrangers » (Gallichan, 1998 : 165). ...
... Lévesque qui n’avait jamais fait de grosses économies sentait bien qu’il se brassait pas mal d’argent. « Il avait l’impression que, dans la chaîne du livre, les auteurs étaient les moins bien traités » (Fortin, 2000 : 126). ...
... Ils s’adjoignent un graphiste de grand talent, Lévis Martin, qui débarque de Paris, et un administrateur, Pierre Gravel, qui s’embarquera peu après pour Paris ! Premier tirage, 15 000 exemplaires, ce qui prouve qu’ils rêvaient. ...
... J’en profite tout de même pour préciser que cette Proclamation a été rédigée à la hâte en attendant de mieux comprendre le contexte créé par le traité de Paris. ...