... J’ai repéré lesquelles étaient apparentées et celles qui étaient liées à la traite des fourrures. Cette activité économique avait permis le développement de la ville et elle occupait une partie des habitants du gouvernement de Montréal. ...
Couturières de Montréal au XVIIIe siècle (Les)
... Voir à ce sujet François-Joseph Ruggiu, L’individu et la famille dans les sociétés urbaines anglaise et française (1720-1780), Paris, PUPS, 2007, p. 25-26. ...
... 82 • les couturières de montréal au xviiie siècle terre et semble participer à la traite des fourrures. Plusieurs « habitants » se seraient installés dans cette région afin de pouvoir commercer plus librement qu’à Trois-Rivières. ...
... Pour avoir une idée du sens des affaires des gens exerçant ce métier, voir Dominique Michel, Vatel et la naissance de la gastronomie, Paris, Fayard, 1999, p. 16-17 et p. 123-134. 10. ...
... Thomas Wien a analysé les relations entre le monde agricole et la traite des fourrures. « Familles paysannes et marché de l’engagement pour le commerce des fourrures au Canada au xviiie siècle », dans C. Dessureault, J. A. Dickinson et J. ...
... De nombreuses études ont abordé la traite. ...
... Quant à Marie Anne Lemoine, c’est par ses frères, ses fils et ses neveux qu’elle était liée au monde de la traite. ...
... Il ne faut pas conclure que seules les épouses d’hommes engagés dans la traite étaient couturières. Il n’y a pas de monopole ici, quoique le lien avec un homme actif dans la traite semble augmenter les chances d’y participer. ...
... Soulignons que divers membres des familles Tessier, Biron et Leduc étaient très engagés dans la traite à chaque génération. ...
... Les sœurs Desauniers ont promis à la mère de Marie Anne de « lui fournir bois, manger, feu, gîte et luminaire, [de] l’entretenir de hardes et linges pendant le dit tems, [de] la traiter doucement et humainement comme il appartient ». ...