... Le traité d’Utrecht, signé en 1713, garantit aux Acadiens de pouvoir rester de confession catholique et leur donne un an pour quitter la Nouvelle-Écosse sans problème. ...
De racines et de mots
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... Or, le traité d’Utrecht, signé en 1713, garantissait aux Acadiens de pouvoir rester de confession catholique. Toutefois, pour avoir le droit de demeurer à Beaubassin, le père de Paul a dû prêter un serment d’allégeance au roi de Grande-Bretagne. ...
... L’année suivante, le traité de paix d’Aix-la-Chapelle met un terme à la guerre de succession d’Autriche, ce qui rassure Jean-Baptiste. « Enfin, nous pourrons recommencer à vivre en paix », disait-il. Mais il ne sait pas ce qui l’attend ! ...
... La guerre de Sept Ans est résolue avec la signature du traité de Paris le 10 février 1763. La très grande majorité des Acadiens revendiquent d’être rapatriés en territoire français, mais en vain. Une lueur d’espoir point en 1765. ...
... la question à 100 p i a s s e s qui a trait à l’histoire, le bédéiste a une préférence marquée pour les xixe et xxe siècles, deux siècles riches en transformations et en bouleversements de toutes sortes, propices à la création et à la nouveauté. ...
... Le pari a réussi. En 1775, et plus tard en 1812, les Canadiens se sont battus aux côtés des soldats anglais pour repousser des invasions américaines. ...
... Camille avait compris qu’elle ne voulait pas être dérangée et se l’était tenu pour dit malgré un vif désir de faire connaissance, car ses traits semblaient indiquer qu’elle était Autochtone. Quelle malchance ! ...
... Les langues menacées et ce qu’elles ont à nous dire, Paris, La Découverte, 2012 [2010]. Hagège, Claude, Halte à la mort des langues, Paris, Éditions Odile Jacob, 2002. ...
... Bibliographie personnelle Essai historique Paysages urbains et mélancolie chez Orhan Pamuk, Paris, L’Harmattan, 2016. Recueil de nouvelles Chroniques du lézard, Montréal, Éditions Marchand de Feuilles, 2007. ...
... Leur provenance est difficile à déterminer, mais une note à l’intérieur spécifie que le document a été acheté à Paris, en 1931, pour la rondelette somme de 1 000 $, par WIM (William Inglis Morse), que l’ex-libris identifie comme le « Curator of Canadian ...