Exode québécois. 1852-1925 (L')

Exode québécois. 1852-1925 (L')

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... Évidemment, nous ne disposons pas du journal personnel de François Bacquet, ni de lettres envoyées à ses parents ou proches parents susceptibles de nous livrer ses horizons d’attente, si tant est que ces documents aient existé. ...

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... , 1852-1871, Mémoire de maîtrise en histoire. ...

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... 228 l’e xode qu é bé c oi s. 1852 -1925 Simon le moment de commencer une famille. Il prend deux fois épouse à Saint-Charles, en 1779 et en 1782. La première fois, il est âgé de trente ans. ...

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... Quant au cadet de la famille, Théodore-Jean, il a terminé ses études commerciales à Rimouski en 1851. ...

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... En conséquence, plusieurs ont choisi, comme leurs parents, grands-parents et arrière-grandsparents, de quitter leur famille et le milieu où ils avaient grandi. ...

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... C’est en ce sens que les lettres de la fratrie portent en elles l’expression tacite d’une culture migratoire partagée dans la famille82. ...

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... Retournons à leur situation générale pour voir ce qu’elle pourrait nous apprendre de plus sur l’expérience migratoire de la famille. ...

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... Localement, des dizaines de familles ont quitté Sainte-Anne-des-Monts depuis le début des années 1880 et le mouvement va en s’accroissant. ...

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... 234 l’e xode qu é bé c oi s. 1852 -1925 pour le Nord-Est ontarien, la famille Saucier, son frère Gustave, son beau-frère Vachon et sa sœur Emma pour la ColombieBritannique. ...

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... Cette façon de penser, de jauger leur univers, tient aussi à l’ouverture de leur milieu natal sur le monde, à une entreprise familiale branchée sur l’économie nord-américaine, à une grande mobilité de la famille qui, depuis des générations, se déplace ...