... La nouvelle œuvre est placée sous la direction de sœur Marie-de-Jésus (Marguerite Simard), une trop frêle femme de 21 ans qui adore les enfants, travaille comme deux et chante à ravir. ...
Histoire de l'hôpital Sainte-Anne de Baie-Saint-Paul
... Les « pèlerinages de bois » marqueront d’une étoile chaque mois de mars et l’histoire se répandra dans la vallée si bien que la force de l’exemple gagnera tous les rangs de la paroisse : Mercredi 15 mars 1905 : Aujourd’hui viennent les paroissiens des ...
... (Ibid., p. 54) Mercredi 22 mars 1905 : Ce matin, les paroissiens de Saint-Placide […] viennent faire leur pèlerinage annuel […] en faveur des pauvres de l’hospice. ...
... Ayant reçu les derniers sacrements, il désire que les comptes se fassent pendant qu’il peut encore en donner les explications à sœur Marie-du-Sacré-Cœur (Couillard), « d’autant plus que ses entrées se faisaient plutôt dans son excellente mémoire que dans ...
... Des patientes retrouvent leur talent de fileuse et de tisseuse, les travaux saisonniers de jardinage suscitent des rassemblements et réveillent des intérêts, plusieurs patients s’intègrent à la petite manufacture où sœur Marie-Josephde-la-Croix (Marchand ...
... Une sorte de délégation se dirige vers le Maine : d’abord le marié, docteur Euloge, puis le magistrat Hidola Simard, père de la mariée, ensuite l’inspecteur Thomas Tremblay, père et témoin du marié, enfin le curé de Saint-Hilarion, l’abbé Philippe Tremblay ...
... bonne qui dépasse leur faim de pain pour étancher leur soif de rire et de parler, qui dépasse leur besoin de chaleur pour étancher leur soif d’aimer et d’être aimés : « C’est bon de voir la joie de notre Émile Dufour dont c’est la fête aujourd’hui le 4 mars ...
... (APFM, 6 mars 1910, p. 24-25) Ce n’est pas demain que passera le train, mais, à partir d’aujourd’hui, chaque prière porte un dormant. Vient le jour où l’on peut, enfin, faire confiance au printemps. ...
... Sœurs Amable-de-Jésus (Démérise Asselin) et Marie-Agnès-d’Assise (Georgina Pilote) se renferment avec les malades, déterminées à y demeurer le temps qu’il faudra. ...
... (APFM, 2 mars 1911, p. 127) Il est donc possible de se promener au pas dans les quatre villages pour prendre l’air, aider une convalescence ou, tout simplement, « parce que c’est plaisant ». ...