Lettres à Julie

Lettres à Julie

Page 10

... 1828-24 janvier 1894), Gustave (15 décembre 1829-17 décembre 1851), Ernest (4 janvier 1832-19 juillet 1834), Azélie (1er septembre 1834-27 mars 1869). ...

Page 11

... Occurrences du mot « patriote » : 17 et 24 décembre 1820, 14 janvier 1822, 14 février et 2 mars 1826, 27 novembre 1828, 21 janvier 1833, 12 et 30 janvier 1834, 23 février, 2 mars, 14 mars, 9 novembre et 23 décembre 1835, 28 janvier 1836. ...

Page 12

... Il y avait de la sensibilité dans notre conduite, il n’y avait pas de faiblesse » (2 mars 1830). ...

Page 14

... de l’exil (1837-1845) Du 10 décembre 1837 au 29 novembre 1838, la correspondance de Papineau à sa femme comprend huit lettres adressées d’Albany, de New York ou de Philadelphie ; les douze lettres de 1839, toutes écrites de Paris, s’échelonnent du 7 mars ...

Page 15

... À la demande des Patriotes qui espèrent des appuis de la France, Papineau quitte New York le 8 février 1839 et débarque au Havre le 7 mars. ...

Page 16

... » (15 mars 1839). Dans ces moments difficiles, Papineau songe à vendre sa seigneurie. ...

Page 17

... À quelques mois de son retour d’exil, Papineau pense qu’il « n’y a que le mécontentement généralisé permanemment qui dégoûtera l’Angleterre d’une possession aussi onéreuse comme l’est dorénavant le Canada […] » (22 mars 1845). ...

Page 22

... Décidemment, la liste est longue et exhorbitante, comme une robbe de mariée : un vrai pic-nic linguistique. ...

Page 27

... La mère de Julie Bruneau est Marie-Anne Robitaille ; fille de Pierre Robitaille et de MarieGeneviève Parent, Marie-Anne Robitaille est veuve depuis avril 1820 du marchand et député Pierre Bruneau. ...

Page 28

... Seigneur de Sainte-Marie de la NouvelleBeauce, il sera nommé juge de la Cour du banc du roi pour le district de Québec en 1827. ...