Mémorial de Canadiens français aux USA

Mémorial de Canadiens français aux USA

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... ayant été déclarée, mais le traité de 1721 devait la rendre à ce dernier pays. ...

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... La traite des fourrures constituait la principale source des revenus de la Nouvelle-France. En 1747, le commandant apprit que certaines tribus avaient formé le projet de massacrer les habitants établis autour du fort et de mettre à mort la garnison. ...

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... L’arrivée à Détroit d’un convoi de troupes et de fournitures de traite permit au commandant de renforcer la défense du fort Saint-Joseph (Niles, Michigan), de celui d’Ouiatanon (près de Lafayette, Indiana) et de postes du pays des Illinois. ...

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... Comme il demandait en échange des droits exclusifs de traite des fourrures pendant dix ans, on le soupçonna de n’invoquer les richesses minières du sous-sol que pour s’enrichir au moyen des pelleteries. ...

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... Né à Paris en 1683, issu d’une famille noble, il arriva à Québec en 1697. ...

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... En 1778, Mallet établit un poste de traite sur les bords de la rivière des Illinois et y attira une quarantaine de trappeurs, de coureurs des bois et de voyageurs. Ce comptoir suscita sans doute certaines convoitises. ...

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... Michillimakinac était la plaque tournante des missions, de la présence Mémorial 158 militaire et de la traite des fourrures dans l’Ouest du continent. ...

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... C’est au moyen de revenus de la traite des fourrures que les commandants assumaient le maintien des postes qui leur étaient octroyés. ...

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... Trois ans plus tard, il concluait un traité de paix avec les Sioux vivant à l’ouest du poste de Baie-des-Puants (Green Bay, Wisconsin). En 1747-1748, il est appelé à combattre les Anglais en Acadie et à Louisbourg. ...

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... Il prit part à la guerre d’Indépendance des États-Unis, notamment aux sièges de l’île SaintChristophe et de Yorktown. Il fut fait prisonnier à bord du Ville de Paris lors d’un combat qui eut lieu le 12 avril 1782. ...