... On peut comprendre que, dans un tel contexte, les traités ne marquent qu’une pause. Et c’est ainsi que, dès 1646, l’engrenage des tueries recommence104. Sans oublier nombre de Français — principalement jésuites, Montréalistes 100. ...
Nouvelle-France. English Colonies.
... Certes, durant quelques mois, la traite des fourrures peut reprendre et, en juin 1654, les Montréalistes voient apparaître une « flotte […] de canots chargez de pelleteries », dirigée par des Pétuns et « Cheveux Relevez » ayant prudemment passé par l’ ...
... Le tout aboutit à un nouveau traité à Québec en octobre 1655, alors que les Agniers obtiennent de Lauson que cette paix ne se fasse qu’avec les Français, et non avec les Hurons et les Algonquins, ces derniers « étant envenimez au dernier point contre ...
... chocs inévitables 53 enfants, sous les yeux des Français qui n’interviendront pas, pour respecter le traité de 1655… « Le Huron » pourra bien alors gémir : Je reconnois aujourd’huy que je suis condamné à des larmes perpétuelles. ...
... Revenons toutefois en 1667, alors que Courcelle signe la paix avec eux le 10 juillet, et que trois semaines plus tard, par le traité de Bréda du 31 juillet, l’Angleterre de Charles II faisait de la Nouvelle-Hollande183 176. ...
... essentiels pour la traite des fourrures. ...
... Mais les traités antécédents ont démontré leur fragilité, et seul un appui massif de la métropole pourrait peut-être permettre son maintien. ...
... Marie de l’Incarnation à son fils, 1er septembre 1668, Correspondance, p. 808. 16. « Permission de traitter les boissons aux Sauvages », 10 novembre 1668, JDCS, vol. I, p. 535. ...
... Claude-Charles Bacqueville de La Potherie, Histoire de l’Amérique septentrionale, [1re éd. en 1722], Paris, Éd. Du Rocher, 1997, p. 304. 21. Frontenac à Colbert, 13 novembre 1673, RAPQ, 1926-1927, p. 35-36. 22. ...
... Les Canadiens des années 1670 vivent de la traite des fourrures. Pour ce, ils doivent maîtriser les seuls moyens de communication de l’époque: les cours d’eau. ...