Partir pour la famille

Partir pour la famille

Page 178

... Marie-Claud Soucy, ms no 10) ...

Page 183

... Informatrice, SainteBrigitte-de-Laval (Montmorency), 1947 (Marie-Ursule (sœur), 1951 : 165) ...

Page 187

... Mais, d’après Anne-Marie Desdouits, il différait quelque peu de celui réalisé au Québec. ...

Page 188

... Marie Joncas, ms no 822) Ce n’était pourtant pas ce que l’Église catholique enseignait, puisqu’elle soutenait plutôt que les âmes des nouveau-nés morts avant d’avoir été baptisés étaient souillées de la tache originelle et se retrouvaient, par conséquent ...

Page 192

... . […] Marie-Mance-Micheline, fille de l’Église, reçoit mon baiser le plus affectueux. Les parrain et marraine, les grand’parents des deux familles sont tous émus et paraissent si heureux. ...

Page 195

... Informatrices, Saint-Hilarion (Charlevoix) (Gagnon, 1979 : 114) Des croyances similaires ont été recueillies dans diverses régions du Québec (Gauthier, 1991  : 191-192  ; Rousseau et Rousseau, 1950 : 84 ; Marie-Ursule (sœur), 1951 : 96 ; Massicotte, ...

Page 205

... Marie-Claud Soucy, ms no 56 ; Gagnon, 1979 : 93-94 ; Lapointe, 1981 : 21 ; Simoneau, 1980 : 88). ...

Page 210

... Informatrice, Montréal (Baillargeon, 1996a : 54-55) À Sainte-Brigitte-de-Laval à la fin des années 1940, d’après sœur Marie-Ursule, les bébés commençaient à manger du pain trempé ou du gruau après quelques semaines seulement. ...

Page 211

... d’un an, ils avaient droit à de la viande et du thé comme les grandes personnes (Marie-Ursule (sœur), 1951 : 99). ...

Page 212

... Informatrice, SainteBrigitte-de-Laval (Montmorency), 1947 (Marie-Ursule (sœur), 1951 : 170) Quand on a le hoquet, on grandit.  ...