Pêche à la morue en Nouvelle-France (La)

Pêche à la morue en Nouvelle-France (La)

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... Il n’en reste pas moins qu’après le traité d’Utrecht ils sont encore plusieurs centaines à les attaquer. Les exemples foisonnent. Augustin Le Gardeur de Courtemanche subit la foudre de 800 Inuits à l’automne 171457. ...

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... Le nombre de 67 000 personnes qui ont passé au moins une saison en Nouvelle-France est avancé par Leslie Choquette ; Leslie CHOQUETTE, De Français à paysans, Québec et Paris, Septentrion et Presses de l’Université de Paris-Sorbonne, 2001, p. 18-20. ...

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... Tout en se réservant la traite des fourrures, les Jolliet laissent leurs domaines ouverts aux autres exploitants, surtout s’ils affichent un lien de famille. C’est de ceux-là que je veux parler maintenant. ...

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... Je ne connais pas les ­données ayant trait à la troisième saison, mais avec des rendements du même ordre le Séminaire entrait dans ses mises de fonds. ...

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... Le réaménagement territorial consécutif au traité d’Utrecht (1713) bouleverse l’ordre des choses. ...

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... En définitive, ce qui m’apparaît de la plus haute importance, c’est que Canadiens et Français ont exploité conjointement la côte du Labrador en fonction d’activités économiques centrées sur la traite et la pêche. ...

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... C h a pi t r e 7 Une industrie en phase d’organisation  1717-1730 N ous avons vu que le traité d’Utrecht a grandement changé la donne. ...

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... le Roi, par ses Lettres Patentes ou les Directeurs d’une Compagnie par leurs Concessions, lui abandonnent en propre pour la planter (i.e. exploiter) & culitver à son profit. » ; Jacques SAVARY DES BRÛLONS, Dictionnaire universel de commerce, vol. 2, Paris ...

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... Dans une évaluation sommaire de ce courant professionnel, on en arrive même à un nombre effarant pour les années qui séparent le traité d’Utrecht (1713) du traité de Paris (1763), 177 025 personnes10. ...

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... pour les Denys de La Ronde à Percé, acceptent de conduire La Sainte-Anne, propriété du capitaine du port de Québec, Louis Prat, pour le salaire de trente-cinq livres par mois chacun, avec la possibilité de partager avec leur employeur les profits de la traite ...