... La célèbre colline de Montmartre à Paris, du temps de l’empire romain, était coiffée d’un temple à Mercure, une idole des Gaulois ; avec le christianisme, le Mons Mercurii fut remplacé par le Mons Martyrum, d’où le toponyme Montmartre. ...
Toponymie (La)
... G : générique ; S : spécifique ; T : toponyme ; P : particule de liaison ; TU : trait d’union. ...
... En 1659, le traité des Pyrénées, intervenu entre la France et l’Espagne pour fixer leur frontière commune, reconnaissait à la France les « bourgs et villages » du comté de Cerdagne. Or, le bourg de Llivia avait obtenu le statut de ville en 1582. ...
... D’autres éléments du langage sont également employés, mais beaucoup plus rarement : • Adverbe : Nowhere, Oklahoma ; Lac Enfin [15], dont on peut imaginer qu’il a été atteint après bien des efforts. • Verbe : Rivière Qui-Mène-du-Train [02] ; à Paris, ...
... Environ 11 % des noms traités dans cet inventaire sont des noms de régions en France. Il ne faut pas croire que le transfert de toponymes de la France au Québec a toujours été dicté par des similitudes géographiques. ...
... Amsterdam, Athens, Belgrade, Berlin, Bern, Brussels, Budapest, Copenhagen, Lisbon, London, Luxemburg, Madrid, Moscow, Oslo, Paris, Prague, Rome et Stockholm sont aussi des villes des États-Unis. ...
... Le phénomène sera traité au chapitre 4 au sujet du « monde administré ». ...
... expression « Neu-Neu » pour désigner une fête foraine créée par Napoléon, une expression qui constitue un cas rare d’apocope doublée, celle d’un toponyme à la fois diminué et augmenté ; il s’agit du surnom de Neuilly-sur-Seine, dans la périphérie de Paris ...
... À Paris, le boulevard Saint-Michel, le boulevard périphérique et la rue Mouffetard sont pour les Parisiens le « Boul’Mich’ », le « Périf » et la « Mouff », alors qu’à Nice, la mondialement célèbre promenade des Anglais est la « Prom ». ...
... L’adaptation phonologique Chaque langue a sa propre manière de traiter les toponymes étrangers. ...