... En 1694, il s’établit à Paris et il est aussitôt nommé maître de musique à Notre-Dame, tout en travaillant pour les Jésuites du collège Louis-le-Grand. ...
Vie Musicale en Nouvelle-France (La)
... En 1694, il est maître de chapelle de la cathédrale de Chartres, puis, de retour à Paris quatre ans plus tard, de l’église de Saint-Germain-l’Auxerrois. ...
... La basse continue comprend de nombreux tétracordes descendants — un trait commun a plusieurs chaconnes et passacailles — qui sont parfois remplies chromatiquement. ...
... Face à la mobilité des indigènes de même qu’aux brassages culturels occasionnés par la traite, l’Église missionnaire se doit d’être polyglotte. ...
... Dans ce sens, les Airs de dévotion à quatre parties en français du compositeur Henry Du Mont (Paris, Ballard, 1663) et deux livres d’Airs spirituels à deux voix du compositeur Bénigne de Bacilly (Paris, Ballard, 1679) qui appartinrent à Vachon et qui, ...
... Le type de traitement harmonique dont cette prose fait l’objet s’apparente de très près au faux-bourdon tel qu’il était pratiqué aux xviie et xviiie Vie musicale.set-up.07 271 5/7/04, 17:30 ...
... Sans répondre à ce diatonisme absolu, le traitement harmonique des versets pairs de l’Inviolata s’en rapproche à maints égards comme l’illustrent les progressions d’accords suivantes : I-IV-I-V-I-V6-VI-V-VI-V-I (deuxième verset de la prose), I-VI-IV-I-V-VI-V-V6 ...
... Cet exemplaire vient de Saint-Sulpice de Paris, avec lequel l’abbé Pellegrin était en relation, et porte la mention « Saladin pretre 1725 » (l’abbé Simon Saladin est un Sulpicien arrivé à Montréal en 1714 et mort en 1747). ...
... Pierre Rameau, Le Maître à Dancer, Paris, 1725. BNF, Réserve imprimés. sont aujourd’hui que tout le monde apprend à danser. On s’efforce à bien faire pour briller au bal que l’on espère que M. Bigot donnera ici ». ...
... Ce qui pousse Mme Bégon à le traiter de « tartufe » puisque, pendant qu’il parlait, toutes ses filles étaient à des noces à la Rivière-desPrairies, proche de Montréal19. « Nos prêtres ne canoniseront pas M. l’intendant : ses bals les ont trop scandalisés ...