Vie Musicale en Nouvelle-France (La)

Vie Musicale en Nouvelle-France (La)

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... En effet, l’intendant Hocquart avait affermé les postes de traite gouvernementaux à des entrepreneurs privés tels Chalet et Cugnet64. ...

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... Voilà ce qu’on peut lire sur la page titre des Principes de musique de Michel Pignolet de Montéclair, publié à Paris en 1736. À l’extérieur, sur la couverture de papier, on a ajouté « Au Séminaire des missions Etrangeres de québec ». ...

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... Ce dernier, arrivé à Québec de Paris en 1726, a un fils du même nom, lui aussi marchand, dont le fils, appelé également Charles, deviendra prêtre en 1793. ...

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... Connu, pour des raisons encore mystérieuses, sous le surnom de le Romain — on a cru longtemps qu’il avait séjourné dans la Ville éternelle —, il a laissé des suites et des sonates en trio pour son instrument, ainsi qu’un important traité sur le jeu de ...

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... Quelques années auparavant, le chapitre avait envisagé d’acheter ce petit instrument pour la cathédrale de Québec, comme il est raconté dans le chapitre sur l’orgue, mais il ne fut pas jugé suffisamment sonore et on commanda plutôt un nouvel orgue à Paris ...

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... Enfin, les Principes de musique par Monsieur Dupont semblent inspirés des Principes de musique par demandes et réponce de Pierre Dupont, maître de violon et de danse, traité qui connut plusieurs éditions à partir de 1713, dont une nouvelle en 1740, l’ ...

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... Les danses du manuscrit Berthelot Bon nombre de pièces du manuscrit Berthelot, menuets, tambourins et musettes, ont pu être retracées dans les dizaines de recueils de musique analogues publiés à Paris dans le courant du xviiie siècle : divers recueils ...

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... À Paris, après avoir travaillé pour quelques nobles patrons, il est nommé en 1736 ordinaire de la musique de la Chambre du roi, ce qui ne l’empêche pas de se produire avec beaucoup de succès au Concert spirituel, la première institution française de concerts ...

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... Les acteurs de la vie musicale : les amateurs 371 Jean-Baptiste Anet dit Baptiste (1676-1755) Né à Paris d’un père violoniste, Jean-Baptiste Anet apprend tôt l’instrument de son père, puis il se rend à Rome étudier auprès de Corelli. ...

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... Puisque comme traiteur, c’est-à-dire engagé dans la traite des fourrures, Marseau devait voyager, on peut imaginer que la flûte et le violon étaient appréciés comme moyen de divertissement dans les divers postes qu’il visitait. ...