Vie Musicale en Nouvelle-France (La)

Vie Musicale en Nouvelle-France (La)

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... tout point celui que décrit l’Oraison funèbre du Sulpicien Poncin qui, afin de faciliter la copie, décida de faire venir de France des caractères de différentes grandeurs ; ce sont des feuilles de cuivre très minces, et découpées suivant la forme des lettres ...

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... Pourtant, au fil des ans, la lettre de Mgr de Laval de 1664 tend déjà à le prouver, on voit certains textes se réjouir de la beauté du chant et des cérémonies ; progressivement, ici et là, on avoue éprouver un certain plaisir esthétique. ...

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... Dans sa lettre, elle mentionne deux personnes musiciennes : le père René Ménard (1605-1661) et Mère Marie de Saint-Joseph (1616-1652). ...

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... En outre, s’y trouvent de nombreux motets en l’honneur du Saint-Sacrement, des pièces pour les Saluts, pour les processions, ainsi que des motets implorant la bénédiction de l’Enfant Jésus ou de la Sainte Famille. ...

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... Dans une lettre au chapitre de Chartres, le père Vincent Bigot, principal maître de chant des Abénaquis, écrit en 1699 que « les femmes surtout ont de très belles voix, aussi douces et plus fortes que la voix des femmes françoises. ...

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... Représenté à 60 %, le plain-chant (faux-bourdon inclus) se compose d’antiennes, d’hymnes, de proses, dont celle de la Sainte-Famille, des diverses parties chantées du propre de la messe pour les dimanches et fêtes ainsi que de l’ordinaire de la messe ...

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... extra-ordinaires que l’on faisoit tous les jours pour vous, l’on chantoit l’Inviolata en musique à la fin du saint sacrifice de la messe26. » C’est ainsi que s’exprimait le père Vincent Bigot, missionnaire des Abénaquis de Saint-Françoisde-Sales, dans une lettre ...

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... La prose Sacrae familiae écrite pour la fête de la Sainte Famille — également traduite en abénaquis — constitue pour le Canada l’expression locale de cette réalité liturgique de la France d’alors. ...

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... Ce n’est que le 31 juillet, « le tems de la navigation parvenû » qu’arrivent les lettres officielles du roi à l’intention du gouverneur et de l’intendant Hocquart. ...

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... L’année précédente, d’après sa lettre du 6 décembre, toute la société montréalaise avait dansé tous les jours chez M. Duplessis, premier capitaine. Mme Bégon commente les bals de la saison en cours. ...