Vie Musicale en Nouvelle-France (La)

Vie Musicale en Nouvelle-France (La)

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... Après le repas, « M. et Mme Varin voulant donner le plaisir de la danse aux Anglais», on recrute les demoiselles des meilleures familles « ce qui composa très promptement une assemblée de 25 ou 30 personnes. ...

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... Les prêtres de la paroisse ne tardent pas à envoyer « des lettres à toutes les dames de la Ste-Famille qui ont été au bal pour leur dire […] de faire pénitence » ; Mme Felz, la femme du chirurgien, qui en était la présidente, avait déjà été priée de se ...

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... Le Journal de Montcalm ainsi que ses lettres nous permettent de suivre ses activités au cours des années 1756 à 1759. ...

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... Après cette lettre du 15 février, ni le Journal ni les lettres de Montcalm ne parlent plus de bals ; le commandant en chef des troupes a d’autres préoccupations : la flotte anglaise menace Québec, dont la cathédrale sera bombardée dès le mois de juillet ...

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... Ces grands commis étaient pour la plupart issus d’importantes familles de serviteurs de l’État, de ce qu’on appelle la noblesse de robe. ...

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... La preuve que des concerts ont lieu régulièrement chez l’intendant à Québec nous est donnée par cette lettre de protestation que M. ...

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... Duron explique comment ces partitions réduites pouvaient servir de base à des musiciens de province pour composer les parties manquantes en vue d’une représentation. « Mais les petits concerts privés, Nicolas Clérambault (1676-1749) Né à Paris dans une famille ...

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... On a vu qu’à Québec, dans une lettre de 1706, le chanoine Glandelet se plaignait à l’évêque, Mgr de Saint-Vallier, du fait que se tenait régulièrement chez l’intendant Raudot une « espèce d’opéra » ; toutefois, ce n’est pas la première fois que ce genre ...

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... Les personnages, joués par les fils des familles Chartier, de Repentigny, Denis et Sevestre, pour ne nommer que ceux-là, sont le Génie universel de la Nouvelle-France, des sauvages hurons et algonquins qui viennent saluer le gouverneur, le Génie des forêts ...

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... Québec aussi a ses salons sous le Régime français : dans une lettre de 1757, le marquis de Montcalm en signale deux qu’il se plaît à fréquenter, ceux de Madame de Péan et de Madame de La Naudière, et nous avons vu que dès 1720 le père de Charlevoix avait ...