... Vingt-cinq ans plus tard, François Hébert lui fait écho: «Pour me lire, mes propres descendants devront-ils me traduire17?» Nos écrivains, nos artistes ne se déroberont pas au combat. Ils y sont d’ailleurs depuis le début. ...
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À armes égales
... Pour faire triompher le français au travail, il faut donc en faire aussi la langue du milieu des affaires. François-Albert Angers, qui était professeur aux HEC et proche de ce milieu, l’avait parfaitement compris. ...
... Témoignent de cette règle générale sinon universelle l’histoire de notre propre langue, qui a vu son ascension politique confirmée par l’arrêt pris par François Ier à Villers-Cotterêts en 1539, et celle de notre propre pays où l’anglais s’est imposé d ...
... Ce môle d’unilinguisme français — tous les sociolinguistes en conviennent, un William Mackey de Laval, un Pierre Laporte du Conseil de la langue française7... — dressé au cœur d’une activité générale constamment sollicitée par le bilinguisme, quand ce ...
... Frantz FANON, Les damnés de la terre, Préface de Jean-Paul Sartre, Paris, François Maspéro, 1963, [3e édition]. ...
... François HÉBERT, Montréal, Seyssel, Éditions Champ Vallon, 1989, p. 83. 18. Pierre PERRAULT, «Le royaume des pères à l’encontre des fils. Réponse de Menaud à Savard», Le Devoir, 28 janvier 1978, p. 48. ...
... Cette attitude de René Lévesque fut analysée par François-Albert ’Action nationale, vol. LX, no 2, ANGERS, «Le cas René Lévesque», L octobre 1970, p. 107. ...
... Jean-François LISÉE, Dans l’œil de l’aigle, Washington face au Québec, Montréal, Boréal, 1990, p. 454-455. 13. Fernand DUMONT, «Parlons américain... si nous le sommes devenus», Le Devoir, 3 septembre 1982, p. 17. Chapitre VII. Ottawa contre nous 1. ...