... Champlain le proclame dès le 3 juin, lorsqu’il rencontre un groupe de Kinouchepirinis, des Algonquins du lac Muskrat, qui se rendent aux rapides de Lachine pour la traite. ...
À la rencontre des Algonquins et des Hurons
... Cela risque de donner aux Népissingues la possibilité d’avoir accès directement aux marchandises de traite. ...
... , participe à la traite à Trois-Rivières. Comme les Français veulent faire tirer toute l’artillerie de leur barque pour honorer saint Pierre dont c’est la fête, ils demandent au chef algonquin de reculer, afin d’éviter tout accident. ...
... Finalement, l’alliance est confirmée par des échanges de fourrures contre des marchandises de traite. Il semble même qu’elle inclut d’autres nations huronnes. ...
... Ses alliés amérindiens commencent à perdre confiance en lui et à venir moins nombreux à la traite qui se fait chaque année aux rapides de Lachine. ...
... Tous les Hurons présents pour la traite sont certainement partis avec le récollet. Doutant de la sincérité de Champlain, ils ont refusé de l’attendre plus longtemps. ...
... est la plus orientale de toutes, et est celle qui la première a découvert les Français, et à qui ensuite appartenait la traite selon les lois du pays. ...
... Champlain n’hésite pas à revenir vivre dans sa cabane, à Cahiagué, et lorsque le printemps est de retour, il part avec lui et le père Le Caron pour se rendre à la traite aux Trois-Rivières et, de là, à Québec, où ils arrivent le 11 juillet 1616. ...
... Le résultat est la traite retardée et décevante en juin et juillet 1611. À son retour au Canada, en avril 1613, Champlain refuse de se laisser entraîner dans une nouvelle expédition franco-montagnaise contre les Iroquois. ...
... Ils sont de plus en plus exaspérés par le monopole de la traite des fourrures, rétabli dans la vallée du Saint-Laurent en 1612, qui les empêche de jouer de la concurrence entre les traitants pour obtenir des produits européens au meilleur prix. ...