À la rencontre des Algonquins et des Hurons

À la rencontre des Algonquins et des Hurons

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... Champlain y raconte tout d’abord son départ d’Honfleur le 24 mai 1618, le meurtre de deux Français de Québec par des Montagnais en avril 1617, la découverte des corps l’année suivante et l’impossibilité de condamner les coupables à l’occasion de la traite ...

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... Il doit alors veiller à ce que le Conseil du roi n’annule pas, à la demande des États de Bretagne, le monopole de la traite des fourrures dont bénéficie la compagnie du Canada, et il rédige des mémoires pour la chambre du commerce et le roi, afin d’obtenir ...

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... Introduction 43 verain, qui vient d’éliminer le favori de sa mère pour gouverner luimême, rêve de croisade, qu’il est un admirateur de saint Louis, le roi croisé mort devant Tunis en 1270, et qu’il soutient la Milice chrétienne instituée à Paris en ...

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... Ils sont bien proportionnés de leur corps, y ayant des hommes bien formés, forts et robustes, comme aussi des femmes et des filles, dont il s’en trouve un bon nombre d’agréables et belles, tant en la taille et la couleur qu’aux traits du visage, le tout ...

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... Les associés ne sont intéressés que par la traite des fourrures et ne veulent pas devoir entretenir des colons (Trudel : 242-245). Champlain doit mobiliser non seulement le roi, mais aussi les Grands et les prélats. ...

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... La traite des fourrures étant libre depuis la révocation définitive du monopole de Dugua de Mons le 6 octobre 1609, Champlain a été aux prises avec la concurrence des traitants dans la vallée du Saint-Laurent en 1610 et 1611 (Champlain, 2008 : 213228 ...

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... Les lettres patentes du 13 novembre 1612 l’ont nommé lieutenant général en Nouvelle-France et lui ont accordé, pour douze ans, le monopole de la traite des fourrures dans la vallée du Saint-Laurent, depuis Québec en amont. 20. ...

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... Le 5 février 1613, une compagnie a été créée pour exploiter le monopole de la traite des fourrures accordé au prince de Condé. ...

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... Il avait déjà fait la traite des fourrures dans la vallée du Saint-Laurent en 1610 et 1611 (Champlain, 2008 : 215, 223, 254 et 255). ...

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... Le 13, nous partîmes de Québec pour aller au saut Saint-Louis36, où nous arrivâmes le 21 et y trouvâmes l’une de nos barques qui était partie avant nous de Tadoussac, laquelle avait traité un peu de marchandises avec une petite troupe d’Algonquins, qui ...