... Or, malgré cette diversité ethnique, les traités d’histoire de l’Acadie ne portent généralement guère attention à l’expulsion 30. Ibid., p. 86. ...
Acadiens, Canadiens et Français. Synthèse des déportations
... Son Martyre et sa Résurrection, Paris, Librairie d’Amérique et d’Orient Adrien Maisonneuve, 1947, p. 113-114). ...
... 71 Épilogue tableau xi Estimation des populations déportées au lendemain du traité de Paris (1763) Lieu de résidence Nouvelle-Écosse Population 1 762a Île Royale 439b Île Saint-Jean 199c Îles de la Madeleine 85c Québec 1 350d Colonies anglo-américaines ...
... La grande inquiétude fut ensuite de savoir comment la conquête militaire du Canada allait être déterminante et changer la condition sociopolitique des réfugiés acadiens que les Anglais considéraient comme traîtres à la patrie puisque le traité d’Utrecht ...
... Le traité de Paris ayant inspiré aux déportés des colonies anglo-américaines l’espoir d’être rapatriés en territoire français, l’ambassadeur de France à Londres, le duc de Nivernais avait reçu en août-septembre 1763 les pétitions de 3 734 Acadiens des ...
... L’expression est d’Émile Lauvrière (La tragédie d’un peuple, Histoire du peuple acadien de ses origines à nos jours, Paris, Éditions Bossard, 1922, tome second, p. 329 et 358). 50. É. Lauvrière, Brève histoire tragique, op. cit., p. 114. 51. ...
... L’Europe avait alors reçu relativement peu de déportés : ceux que Lawrence avait tenté d’envoyer en Virginie, qui avaient été redirigés vers l’Angleterre au printemps de 1756 et qui allaient passer en France après le traité de Paris de 1763 ainsi que ...
... Selon un mémoire daté du 16 avril 1764, il se serait embarqué, au cours des mois après la ratification du traité de Paris, environ 500 Acadiens partis « tant pour Saint-Domingue et « la Martinique que pour les Isles Saint Pierre et Miquelon »66. ...
... Robert Larin, Canadiens en Guyane, 1754-1805, Québec/Paris, Septentrion et Presses de l’Université, Paris-Sorbonne, 2006, p. 76-77. 70. Ibid., p. 77. 71. ...
... Louis XVI avait finalement donné son consentement le 25 avril 1784 et le comte d’Aranda, ambassadeur d’Espagne à Paris avait signé l’autorisation le 3 mars 178591. ...