... Puis, la Société de Notre-Dame pour la conversion des sauvages de la Nouvelle France cède aux messieurs de Saint-Sulpice de Paris « tout droit de propriété en l’Isle de Montréal […] comme aussi la maison seigneuriale dite le fort […] la métairie et terres ...
Agathe de Saint-Père
... Selon Trudel3, « deux routes d’eau conduisaient aux Pays d’en Haut : l’une la rivière des Outaouais, route algonquine et huronne que l’on utilise pour la traite, parce qu’on y est mieux à l’abri des Iroquois ; l’autre, le haut Saint-Laurent, que les guerres ...
... Christian Roy, Histoire de Repentigny, Repentigny, La Société d’histoire de la municipalité régionale de comté de l’Assomption, 1995, p. 19, citant la Correspondance officielle des gouverneurs du Canada, Archives de Paris, 1.3. ...
... Il termine ses jours à Paris, le 9 septembre 1676, et est inhumé le lendemain à la chapelle Saint-Charles des pères de la Doctrine chrétienne. * * * L’intendant Talon prend ses quartiers. ...
... En octobre 1671, afin de s’assurer que les célibataires fondent une famille, Talon va décréter que tout célibataire sera privé de la chasse, de la pêche et de la traite si, à l’expiration de ses trois ans de service, il n’est pas marié quinze jours après ...
... Il décède à Paris, le 24 novembre 1694. C’est le comte Louis de Buade de Frontenac et de Palluau, pratiquement ruiné, qui devient gouverneur général de la Nouvelle-France. ...
... chapitre 3 • Agathe, la petite mère 67 Le roi va autoriser les autorités coloniales à délivrer « une permission à 24 canots équipés de trois hommes chacun » pour aller faire la traite, aucun habitant ne devant bénéficier d’un tel congé « deux années ...
... 68 agathe de saint-père d’un « comptoir de traite avec les Iroquois et les Algonquins58 ». Ce lieu, très stratégique pour la colonie, assurera l’accès à l’Ouest. ...
... Même si, depuis 1669, il faut obtenir un « congé » de traite pour aller « dans le païs des Sauvages », une ordonnance interdit de partir « sans voir laissé visiter ses bagages ». ...
... Les canots étaient chargés de seize mille livres de marchandises de traite destinées au fort Saint-Louis. ...