Agathe de Saint-Père

Agathe de Saint-Père

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... Eux font la traite, aidés de centaines de voyageurs. Ces derniers reviennent vers l’automne, leurs canots chargés de fourrures. ...

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... L’administration va multiplier les postes de traite et les forts afin d’assurer une présence plus stable dans les Pays d’en Haut et, surtout, d’assurer l’approvisionnement en fourrures. ...

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... En 1644, appuyé par les Jésuites, l’ancêtre Pierre se rend à Paris, négocier le transfert du monopole de la traite de la Compagnie des Cent-Associés à une Communauté des Habitants à former. Le roi ratifie le tout, le 6 mars 1645. ...

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... JeanBaptiste fait la traite des fourrures et la lutte aux Iroquois qui menacent Trois-Rivières. Le 2 mai 1670, il devient l’héritier en titre de la seigneurie de Repentigny27. ...

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... Un tel contrat permet de déroger à certaines dispositions de la Coutume de Paris. ...

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... D’abord auprès du gouverneur de la colonie, Jacques René de Brisay, marquis de Denonville, à qui elle demande protection contre son mari qui lui infligerait de mauvais traitements, l’ayant même chassée du domicile conjugal. ...

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... Même si, aux termes de la Coutume de Paris, c’est le mari qui commande et veille à la préservation du patrimoine familial, Agathe prend rapidement tout en main. ...

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... Quelque temps plus tard, d’Iberville est à Paris sur demande du gouverneur Denonville « pour aller rendre compte à Sa Majesté des affaires de la Baie du Nord61 ». ...

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... Ce Bouchard était associé avec Denis Turpin et Jean-Baptiste Le Moyne quand Agathe a exploité ses congés de traite, en 1683-1684. 78.  Hélène Lamarche, « Les habitants de Lachine et le massacre de 1689 », MSGCF, vol. 50, no 3, p. 195. 79.  ...

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... Célibataire, M. de Callière est décrit comme « un diplomate achevé qui savait traiter avec les Nations sauvages qui entouraient les Français109 ». Il ne souhaite qu’une chose, une paix durable avec les Cinq-Nations. ...