... En plus de donner naissance à huit enfants, elle négocie des congés de traite et devient marchande de peaux de castor. ...
Agathe de Saint-Père
... Déjà, lors d’un de ses voyages, Champlain écrivait qu’« il étoit mal avise de recognoistre ce pays sans y avoir yverne car y arrivant en été tout y est fort aggreable, a cause des bois, beaux pays et bonnes pescheries de poisson de plusieurs sortes [… ...
... Il est régulièrement soumis aux jeux des alliances entre Iroquois et Hollandais pour le contrôle du commerce du castor avec la Nouvelle-Hollande43, quand ce n’est pas 38. Ibid., p. xiii. 39. ...
... Au surplus, ils acquièrent un magasin à Québec, « moyennant 500 livres tournois payé en castor gras, loyal et marchand47 ». Agathe va grandir dans ce milieu et, au fil des ans, s’intégrer aux réseaux socioéconomiques tissés par ses oncles. ...
... Une chance qu’il y a du poisson frais ou salé. Le jeûne, ce n’était pas que pour le carême, mais encore la veille de certaines fêtes, ce qui fait une durée d’environ deux mois par année. ...
... Ils ont deux cent mille livres de castor avec eux. Ils en troquent cinquante mille sur place et rentrent à Trois-Rivières retrouver leur famille. ...
... Ainsi, des Outaouais arrivant de Michillimakinac et de la baie des Puants y déchargent des peaux de castor. Est-il nécessaire de le rappeler, la Nouvelle-France n’aurait pas existé sans tous ceux-là qui capturaient le castor. ...
... Ils ont appris de leurs alliés qu’avec la nouvelle lune les courants forts apportent plus de poissons. En 1672 règne une année de grande activité. ...
... En Nouvelle-France, on l’accuse même d’avoir conduit cette attaque pour sauver le commerce du castor de cinq ou six marchands, dont son ami, le sieur de La Chesnaye70. ...
... chapitre 4 • Agathe, la commerçante 73 Que, dans tous le mois d’octobre prochain, les derniers vaisseaux partiront de la rade de Québec pour retourner en France et en Hollande et que le temps de la réception des castors au magasin de la Compagnie ...