... Les Indiens catholiques avaient respecté les traités entre leur Confédération et la Couronne et ils tenaient à ce que le « Grand Roy » sache qu’ils avaient collaboré à réprimer la révolte. ...
Alliance et dépendance
... domiciliés s’intégraient ; d’abord subordonnés au traité de Kahnawake, ils étaient maintenant assujettis au pouvoir du roi. Ils en firent la demande, elle fut entendue. ...
... Pour les Amérindiens de la province de Québec, la référence en matière de droits territoriaux, c’était le pouvoir colonial, ses règlements, ses lois, ses traités. ...
... En guise de contestation, les domiciliés formulèrent un argumentaire vraisemblablement fondé sur le traité de la « Grande Paix » de Montréal du 4 août 1701 : les Iroquois des Six-Nations ne pouvaient prétendre à l’exclusivité parce que le territoire et ...
... Globalement, la politique britannique consistait à s’accaparer des terres des Indiens par traité et par achat. ...
... Conformément à la politique royale, avant de finaliser le tracé frontalier, les autorités coloniales devaient négocier et traiter avec les chefs indiens qui prétendaient posséder des terres aux limites des deux provinces18. ...
... des Sept-Nations sur le territoire et un traité fut conclu avec Kahnawake, « au nom de tout le reste », garantissant aux Iroquois domiciliés à tout le moins le droit de chasser et de pêcher sur toute la vallée du Richelieu et du lac Champlain23. ...
... De Johnson Hall au fort Stanwix En 1758, lors du traité d’Easton, en Pennsylvanie, les Anglais s’étaient engagés auprès des Amérindiens à fixer une frontière aux Appalaches et à ne pas la franchir. ...
... Le 8 mars 1768, les Indiens conclurent un traité de paix, d’alliance et d’amitié. ...
... Le traité de paix et d’alliance servait donc plutôt 93 ...