... Sans le dire explicitement, il se référait sûrement au traité de Kahnawake du 16 septembre 1760 et au traité de Johnson Hall du 8 mars 1768. ...
Alliance et dépendance
... sa part de prestige, elle était aussi risquée. ...
... Ceci est une telle Violation Flagrante des Traités de Paix conclus avec ces Nations, qu’on ne peut souffrir. ...
... Il remit aux chefs militaires un collier de wampum en rappelant aux Chérokis qu’ils étaient liés par traité aux décisions de leurs alliés des Six-Nations et des Sept-Nations de qui ils « dépendaient73 ». Il réussit son coup. ...
... Ce sachem des Iroquois domiciliés trouvait toutefois une légitimité à ses prises de position qu’il fondait sur le traité de Kahnawake et sur sa place dans la structure hiérarchique de l’alliance : Frère. ...
... Saghteghroana assumait son rôle de dépendant sur le mode du rôle d’allié qu’il caractérisait par deux traits : la loyauté et le prestige. Les Sept-Nations étaient loyales. Elles respectaient le traité de Kahnawake. ...
... La Chaîne du Covenant fut « renouvelée » et le traité du 8 mars 1768, reconduit. Johnson avait finalement réussi à éviter une guerre qui compromettait maintenant les intérêts de la Couronne. Les Six-Nations avaient accepté l’option diplomatique. ...
... L’onde de choc provoquée par le traité de Stanwix se faisait toujours sentir90. La mission diplomatique dans les Grands Lacs s’avéra un échec. Les délégués des Sept-Nations pas- 106 ...
... Ensuite, que d’autres nations de l’Illinois, de la Virginie et de l’Ohio projetaient des attaques contre les Anglais qu’elles avaient elles aussi rangés parmi leurs ennemis, à cause de leur tractation avec les Six-Nations, lors du traité de Stanwix92. ...
... Attakullaculla, un chef chérokis signataire du traité du 8 mars 1768, confirma la proposition et ajouta que l’alliance avait séduit des Creeks du nord de la Georgie, des Chickasaws de 108 ...