Amour à 10 sous (L')

Amour à 10 sous (L')

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... Par exemple, dans Timides caresses (1959), signé Paul Verchères, le personnage principal, s’emportant contre un camarade qui est sur le point de violer sa fiancée, traite ce dernier de « sale couillon de voyou », avant de lui infliger deux coups de poing ...

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... Bien qu’il connaisse les guides d’art narratif de Georges Polti (Les 36 situations dramatiques, 1924) et de Léon Bopp (L’esquisse d’un traité du roman, 1935), BeauchampForget préfère, pour amorcer ses intrigues, parcourir le « Courrier de Colette », une ...

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... Rien de la pose, de l’allure, des traits et des vêtements des personnages, non plus que du décor en arrière-plan, n’indique un cadre proprement canadien-français. on tient pour suspect ce qui provient des États-Unis. ...

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... On reconnaît chez lui la même insistance sur les visages, qui condensent dans leurs traits et leurs regards tout le drame d’une situation. ...

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... Et il s’affine même avec le temps : entre les premières réalisations et les dernières, on sent que le trait prend de l’assurance et que les codes esthétiques sont mieux assimilés. ...

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... Devant traiter cette énorme correspondance, on n’a guère le choix d’embaucher une secrétaire à temps plein. ...

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... Les figures parentales sont traitées en fonction de la même philosophie de vie. ...

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... Au terme du récit, Madeleine réussit à se départir de Jules, le détestable fils à maman, et à mettre la corde au cou d’un homme doté d’un front large, d’un menton volontaire, d’un nez droit et d’une moustache, tous des traits qui manifestent une indéniable ...

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... Au moment du drame, elle fréquente un type qui traite sa fille « un peu comme on traite un chien qu’on n’aime pas ». L’attitude de la mère n’est guère mieux : 141 ...

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... Il faut dire que ce texte porte les traits d’une écriture particulièrement soignée, axée sur la psychologie féminine. ...