Amury Girod

Amury Girod

Page 33

... Analyses, commentaires, polémiques, lettres à l’éditeur paraîtront régulièrement dans les journaux de la capitale et dans ceux de Montréal. ...

Page 36

... Les sujets les plus divers sont traités, du domaine des arts et des lettres à celui des sciences, avec une place importante pour l’histoire. ...

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... Au plus fort de l’épidémie, le séminaire de Québec ferme ses portes et renvoie les élèves dans leurs familles. ...

Page 51

... Lettre sans conséquence, pour s’amuser. Libéré de la direction de son école, dans quelle direction dirige-t-il ses pas ? ...

Page 53

... Dans une lettre datée du 20 juillet 1832 et adressée à Ludger Duvernay, un certain Pierre Winter, étudiant en droit, propose une double explication au refus de Girod. ...

Page 54

... Le 20 avril, il écrit deux lettres, rédigées en anglais, qu’il adresse à « The Editor of the Albion, London » et signe « Lemanus », allusion à peine voilée au canton de son enfance. ...

Page 56

... L’intention de Girod en écrivant ces deux lettres destinées au public londonien sous le titre Addresses to the British Nation ne saute pas aux yeux. ...

Page 57

... Si tel est le cas, pouvez-vous me dire où l’atteindre par lettre ? ...

Page 58

... Quel crédit pouvons-nous apporter à cette lettre ? Sa rencontre avec le docteur O’Callaghan paraît plausible. Edmund Bailey O’Callaghan, né en Irlande en 1797, a étudié la médecine à Dublin, Paris et Québec où il reçut son titre de docteur en 1827. ...

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... Un acte notarié nous apprend, en 1838, que Juan Girod était « parti depuis plusieurs années pour rejoindre la famille de son père résidant en pays étranger54 ». Puis, il quitte Québec et transporte ses pénates à Montréal. ...