Amury Girod

... C’est le raz-de-marée. ...

... Une loi sera adoptée en ce sens en mars. Ni l’offre de services de Girod, ni celle présentée plus tard par le protonotaire Joseph-François Perrault ne seront retenues. ...

... La Chambre siège encore lorsque le comité central du comté de Richelieu convoque une assemblée publique le 7 mars où se réunissent entre 500 et 600 habitants. ...

... Une seconde assemblée, tenue à la demande de Bleury, se déroule le 25 mars, toujours à Saint-Ours. Le député censuré explique longuement à la foule les motifs de son vote, sans convaincre grand-monde, semble-t-il. ...

... De janvier 1834 à mars 1837, il noircit des centaines de feuilles où il aborde les sujets les plus variés, en profondeur ou de façon superficielle, sur un ton sérieux ou désinvolte. L’importance et la valeur de ses textes demeurent inégales. ...

... Dans une autre lettre en date du 10 mars, il recommande la prudence : « Je ne suis point d’avis qu’on ait l’air, pour le moment, de s’apercevoir d’une nouvelle édition des Paroles d’un croyant, si elle a lieu à Montréal8. » Que Girod trouve dans cette ...

... Les « Lettres de Jean-Paul laboureur à cousin Jacques10 », que Girod publie à Québec, en mars 1835, s’inscrivent dans une démarche didactique. ...

... Quatre autres numéros sortiront néanmoins en janvier, février, mars et avril 1836 ; puis on n’entendra plus parler de La Pandore. Un autre journaliste d’origine suisse, natif du canton de Genève, prendra la relève, avec plus de succès. ...

... Il présenta un projet de loi à cet effet qui, approuvé par les deux chambres législatives, reçut la sanction du gouverneur le 21 mars 183622. ...

... Girod lui réplique par ses « Lettres seigneuriales » dans le même journal, du 9 février au 30 mars 1837. ...