Anastasie ou la censure du cinéma au Québec

Anastasie ou la censure du cinéma au Québec

Page 244

... Pour éclairer le juge sur l’aspect mouvant du consensus social, la défense fait comparaître ses experts : le sociologue Marcel Rioux, le conseiller matrimonial Gérard Labrosse, le critique de cinéma Gilles Sainte- Marie, le romancier et professeur Jean ...

Page 245

... Après-ski reçoit la même cote le 29 mars et entre en salles deux jours plus tard. ...

Page 246

... Le procès d’Après-ski se déroule en mars 1973. Tout se joue encore autour des normes de tolérance admises en 1971. ...

Page 248

... Le 13 mars 1975, Sweet Movie est classé « 18 ans » par le BSCQ. Ce n’est pas sans réticences que le BSCQ autorise Salò ou les 120 jours de Sodome de Pier Paolo Pasolini le 22 septembre 1981. ...

Page 254

... Le documentaire suscite assez d’intérêt pour que Famous Players le programme dans une des deux salles de la Place Ville-Marie à Montréal. ...

Page 256

... Le père Marcel Marcotte, éthicien bien connu pour ses causeries à la radio (CKAC) publiées ensuite en volumes ou en divers articles, y livre une petite étude, « Frontières de la pornographie », en mars 1970. ...

Page 258

... Il tourne ce qui deviendra On est au coton de septembre 1968 à février 1970 et la copie officielle du film est terminée en mars 1971. ...

Page 262

... La censure à la SDICC Depuis son entrée en fonction en 1969, la Société de développement de l’industrie cinématographique canadienne (SDICC), créée par le Parlement canadien le 3 mars 1967, investit dans la production privée de type commercial. ...

Page 273

... Marx s’en explique aussi dans Le Devoir, le 21 novembre 1983. La Presse, 5 mars 1983. La Presse, 18 mars 1983. 273 la haine et la violence ». ...

Page 274

... La Presse, 21 mars 1985. ...