... Cinéma des premiers temps et religion, sous la direction de Roland COSANDREY, André GAUDREAULT et Tom GUNNING, Sainte-Foy et Lausanne, Les Presses de l’Université Laval et Éditions Payot, 1992, p. 81. Ibid., p. 84. ...
Anastasie ou la censure du cinéma au Québec
... Il n’y a pas eu de suite à cette affaire. 1920 : une nouvelle équipe de censeurs Aux élections provinciales du 9 juillet 1920, le Parti libéral demeure au pouvoir, mais un nouveau premier ministre, Louis-Alexandre Taschereau, Le marquis Guy-Marie-François-Raoul ...
... À compter de cette date, voir le tableau 38 dans Le cinéma au Québec : essai de statistique historique, 1896 à nos jours, d’Yvan LAMONDE et Pierre-François HÉBERT. ...
... La presse fait état de l’événement dès le lendemain et il occupe beaucoup d’espace médiatique dans les semaines suivantes ; même le New York Time en fait écho et François Mauriac lui consacre un billet dans Combat10. ...
... La présence de grandes vedettes, René Clair, Charles Vanel, Arletty, Mijanou Bardot, Daniel Gélin, Dany Robin, Louis Malle, Jacques Tati et François Périer, donne un éclat particulier à l’événement. ...
... recommandation, le Conseil exécutif de la province adopte par arrêté en conseil, le 14 août, le principe que dorénavant ne seraient nommés que des censeurs permanents, c’est-à-dire à plein temps, et il congédie en même temps Gilles Pellerin, Gérard Desautels, François ...
... Il en fait indéniablement partie par son esprit, bien qu’il soit fort éloigné de ce que réalisent les « ténors » du mouvement, surtout François Truffaut et JeanLuc Godard, qui formalisent dans les Cahiers du cinéma le sens de leur démarche, davantage ...
... François Aquin, pour sa part, s’inquiète de la part d’application arbitraire que contient la formule « ordre public et bonne mœurs ». ...
... À Québec, dans la même foulée, des professeurs et des étudiants de l’Université Laval publient en 1975 quatre numéros de Cinécrits. Des films en cour Dans cette période arrive une problématique nouvelle. ...
... L’événement est abondamment commenté dans les médias et même à l’Assemblée nationale, où François Cloutier, ministre des Affaires culturelles, prend le parti du Bureau de surveillance et déclare qu’il n’est pas question de retourner à « l’obscurantisme ...