... Il veut offrir aux invités le plus de marchandises de traite possible pour leur démontrer qu’ils sont de proches alliés des Français. ...
Année des surhommes (L')
... C’est à nous de dire aux Indiens quoi faire pour que la traite fonctionne. Parce que si on ne ramène pas assez de castors dans la colonie, les Français vont repasser en France et c’en sera fini de la traite des fourrures avec la Nouvelle-France. ...
... Quelques chefs soulignent les dangers de s’adonner intensément à la traite des fourrures, puisque plusieurs bandes ont apporté beaucoup de peaux de castor, et très peu de viande. Le temps consacré à l’une fait du tort à l’autre. ...
... Malgré ce traitement, les gencives des affamés saignent. Leur ventre creux se lamente. Ils font aussi bouillir de l’écorce et la pilent pour avaler cette ultime farine de survie. Ils deviennent secs comme bois. Maigres et immobiles. ...
... L’occasion est belle d’imposer la paix pour favoriser la traite des fourrures. — Je suis pas sûr que les chefs ont suffisamment de pouvoir pour maintenir toute leur nation en paix, dit Radisson. ...
... Mais le jeu en vaut la chandelle : favoriser la paix et la traite des fourrures. Ils font porter l’écuelle en bois que chaque invité doit apporter au festin par deux jeunes garçons. ...
... Ils discutent de la grande alliance pacifique que proposent les Panoestigons et les Français, dont les objectifs sous-jacents sont d’intensifier la traite des fourrures avec les Français et de faire front commun contre les Iroquois. ...
... Ils sont déterminés à remplacer les Ouendats comme principaux intermédiaires de la traite et sont donc des concurrents directs des Panoestigons. ...
... Tous les participants mettent leurs réserves de nourriture en commun pour cet ultime repas qui confirme l’union de tous et la réorganisation de la traite des fourrures. ...
... Radisson et Des Groseilliers récupèrent en plein jour les marchandises de traite qu’ils avaient enfouies l’automne précédent en invoquant l’appui de Mishipeshu ; 2. ...