Après Charlie

Après Charlie

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... D’abord New York, puis Paris. Ostracisé par le pouvoir, le Montréalais est voué aux gémonies par le clergé avant de gagner le firmament de l’adoration éternelle après sa mort. Borduas, j’en ai rêvé avant même de découvrir ses exploits. ...

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... Ces journalistes et ces intellectuels mettent souvent en avant la « responsabilité » pour éviter de traiter les sujets qui fâchent. ...

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... Car l’islamisme ne sort pas de nulle part. 24.  Abdelwahab Meddeb, La maladie de l’islam, Paris, Seuil, 2002, 224 p. 25.  ...

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... Elle s’enflamme pour des riens, trois traits jetés sur du papier, mais reste indifférente à l’essentiel. L’humanité semble avoir perdu la boussole. Des « pipoles » ont remplacé les penseurs. L’esprit grégaire domine. ...

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... L’objectif est toujours le même  imposer le retour du délit de : blasphème concernant le traitement journalistique ...

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... Un jour, lors d’une réception à Paris, il m’a lancé : « Djemila, je suis monté en grade. Mon nom figure dans le top 10 d’Al-Qaïda. » C’est une blague ? Non. Charb : une cible ! On touche le fond, on croit rêver. ...

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... 76 • après charlie Cap sur la « banalité » du djihad À Paris comme ailleurs s’agite la plus triste humanité qui soit, celle de la haine. « La haine, c’est l’hiver du cœur  disait le grand Victor Hugo. Eh bien, », l’hiver n’a jamais été aussi rude. ...

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... Faut-il rappeler, comme l’ont démontré deux chercheurs8, que sur les 523 unes du journal publiées entre 2005 et 2015, il ne s’en est trouvé qu’une trentaine pour traiter des religions. ...

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... Prédicateur de l’islam radical en France au début des années 2000, il devient, à 21 ans, l’imam de la mosquée salafiste Adda’wa de la rue de Tanger dans le 19e arrondissement de Paris. ...

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... Martine Gozlan, Le sexe d’Allah, Paris, Grasset, 2004, p. 9. 7.  Robert Buckman, Les racines de la foi, H&O, 2011, 320 p. ...