... J’ai finalement osé dire NON, ce n’est pas normal d’accepter qu’un mari nous traite de pute, nous crache dessus. Casse les meubles… Non. Bonne journée Djemila ! ...
Après Charlie
... La voiture des assaillants fonce dans Paris. Aucune attaque n’a jamais paru si désinvolte. Bizarrement, aucune colère ne m’habite. ...
... Je voudrais qu’on me parle de poésie. Je cherche un remède. Apaisez mon cœur, s’il vous plaît ! Trop de haine se répand dans Paris. Bon, voilà que je recommence à pleurer. Mais que se passe-t-il en France, me demande-ton depuis le Québec ? ...
... La tyrannie ne signifie plus grand-chose pour ces cœurs remplis de ressentiment. « Traiter Charlie de raciste, non mais », pestait ! Charb, qui devenait inconsolable. ...
... En somme, vous conviendrez qu’il n’y a rien de bien choquant à ce qu’un journal d’actualité traite de l’actualité. Le contraire serait regrettable. ...
... Charb, les traits tirés, vêtu de son plus beau tee-shirt bleu à rayures noires, ne sait plus où donner de la tête. Les demandes d’entretien affluent de toute part. « L’emballement médiatique est dû à la réaction du gouvernement. ...
... En fin de compte, le monarque fait le pari que la société, travaillée au corps par l’islamisme, ne s’épanchera pas sur le sort de ces vilains « blasphémateurs ». ...
... Dans son livre Le licite et l’illicite en Islam, véritable appel à la violence et au meurtre, vendu en toute impunité à Paris et à Londres (et pas ...
... Des dessinateurs athées sont assassinés en plein cœur de Paris, et voilà que les forcenés de la culpabilité coloniale reprennent en chœur la rengaine victimaire des musulmans. Oh, les « pôvres » ! Qui ça ? ...
... Une bombe avait été posée sous le train Strasbourg-Paris à hauteur de Vitry-le-François. En fin d’après-midi, nous prenons le métro, direction place de la République. ...