Armes à feu en Nouvelle-France (Les)

Armes à feu en Nouvelle-France (Les)

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... * «La liberté (du commerce) a causé un plus grand malheur: les habitants de Rensselaerwyck, ayant réalisé que les Mohawks avaient un appétit insatiable pour les armes à feu, qu’ils en avaient déjà obtenu des Anglais, qu’ils étaient prêts à payer 20 castors ...

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... de 5 à 6 castors et il en est de même pour les haches, les tranches, les rassades, le plomb et la poudre94. ...

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... Le castor «sec», Le «Castor». appelé également Tiré de l’oeuvre de Konrad Gesner, «Histo- castor «veule» ou rian animalium», 1558, vol. ...

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... Comme les variations entre les qualités de castor sont assez importantes, il est toujours difficile d’établir une courbe schématique des prix. ...

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... 102» Fort Orange — On reçoit du sauvage pour 8 livres de poudre — Pour un fusil — Pour 40 L. de plomb — Pour une couverture de drap rouge — Pour une couverture blanche — Pour un grand capot — Pour quatre chemises — Pour six paires de bas Montréal Un castor ...

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... Sur les pistolets, elle s’incurve vers le bas, en une projection semi-circulaire devant le couvre-gâchette, et se termine par un pommeau ovoïde et hexagonal, au lieu de la forme sphérique ou en queue de poisson du pistolet allemand23. ...

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... La crosse, presque droite, s’incurve légèrement vers le bas et s’élargit en forme de queue de poisson, annonçant ainsi le profil plus sûr et plus dénudé de l’arme à feu moderne. ...

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... En Nouvelle-France, on retrouve du plomb à giboyer, à castor, à oie, à tourte, etc. Escopette: tromblon muni d'une crosse de fusil très courte. Espingole: tromblon appuyé sur un pivot. ...