... Jusque-là interdits aux marchands anglais, ces territoires riches en castors allaient maintenant s’ouvrir à tous ceux qui auraient le courage et la persévérance de 11 ...
Attaque de 1763 (L')
... Il y a plusieurs îles dans cette partie de la rivière, et abondance de poissons, notamment de la grosse barbotte. À quatorze lieues à l’ouest du Long Sault, nous avons contourné un fort français, ou poste de commerce, entouré d’une palissade. ...
... Je leur ai acheté du sucre d’érable et des peaux de castor en 37 ...
... Informés que j’étais Anglais, ils donnèrent avis que mes compatriotes étaient déraisonnables dans leur course au castor et que cette attitude mettrait leur vie en danger, ajoutant que « les Indiens d’en haut le tueraient certainement » en me montrant ...
... Des Indiens qui campaient non loin du fort j’ai pu acheter du poisson frais ou séché. Les vingt milles suivants nous firent voir, sur les deux rives, des terres particulièrement bien adaptées à la culture. ...
... Parcourant l’un d’eux, nous avons vu plusieurs abris de castors et de nombreuses digues. La rupture d’une seule de ces levées a apporté assez d’eau dans un ruisseau pour que nos canots puissent y flotter sur une bonne distance. ...
... Tourtes et la rivière abondent en poissons de plusieurs espèces : esturgeon, barbote, brochet et d’autres variétés. Les Indiens identifient plusieurs poissons dans la catégorie du brochet dont le maskinongé, qu’ils apprécient en premier lieu. ...
... J’ai échangé avec eux quelques petits articles pour du poisson et de la viande séchée. ...
... Dans cette région, nous avons rencontré de nombreux Missisakis qui nous ont vendu des poissons en 48 ...
... Les auteurs français racontent que l’île était habitée par les Amikoués (Amicways, Amicwacs), qui se décrivaient comme une famille (et parfois comme une nation), descendant du Grand Castor, une importante figure mythologique. ...