Au secours de l'Amérique française

Au secours de l'Amérique française

Page 297

... Écrit à Paris le 7e jour de mai, 1620. Signé, Louis. Et plus bas, Brulart. » Fin de la première partie. ...

Page 302

... comment elle s’était résolue de passer une mer si fâcheuse, et il fut grandement réjoui, et elle et moi au préalable, lequel nous dit que deux vaisseaux de La Rochelle, l’un du port de 70 tonneaux et l’autre de 45 étaient venus près de Tadoussac pour traiter ...

Page 303

... Nous apprîmes que les sieurs du Pont et Des Chesnes étaient partis de Québec pour aller en amont dudit fleuve afin de traiter sur une île devant la rivière des Iroquois8, ayant laissé à Tadoussac deux moyennes barques pour nous attendre et les dépêcher ...

Page 306

... Ledit Du Pont se résolut de repasser en France, lui qui avait hiverné, et laissa Jean Caumont, dit Le Mons, pour commis du magasin et des marchandises pour la traite. ...

Page 307

... Ce fut une belle occasion perdue, parce que ceux qui étaient dedans avaient traité nombre de pelleteries. ...

Page 308

... A Paris, le 24e jour de février 1621. ...

Page 309

... De Paris, le 2 février 1621. » Les lettres du sieur Dolu me mandaient que j’eusse à fermer les mains des commis et à me saisir de toutes les marchandises tant traitées qu’à traiter, pour les intérêts que le roi et mon dit seigneur prétendaient avoir contre ...

Page 311

... à tout un chacun d’y habiter, et en ne pouvant traiter que ce qui viendrait du pays, sur les peines qu’il plairait à Sa Majesté de porter. ...

Page 312

... 312 au secours de l’amérique fr ançaise De plus, il fut débattu si l’on permettrait la traite au sieur Dumé, qui avait apporté des marchandises à échanger contre des castors avec les Sauvages. ...

Page 314

... En décembre 1620, les associés de la Compagnie du Canada avaient réclamé les passeports et les congés nécessaires à la poursuite de leur traite mais, le 27 janvier 1621, l’amirauté à Rouen les avait déboutés de leurs prétentions (Trudel, 1966 : 277 ; ...