Au secours de l'Amérique française

Au secours de l'Amérique française

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... Seconde partie : Livre troisième 509 Ce déplaisir, qui lui était si sensible, n’était alors pas tant pour les Malouins et le père jésuite que pour le sujet des Anglais, desquels il se plaignait grandement de l’avoir très mal traité et peu reconnu, contre ...

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... On a fait mon procès, ainsi qu’on m’a dit154, mais puisqu’on me traite de toutes parts comme cela, c’est 152. Peut-être le Dieppois David Michel en relation d’affaires avec les De Caën (Le Blant, 1968 : 26). 153. ...

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... Depuis leur première mission en Acadie de 1611 à 1613, les jésuites étaient accusés d’être motivés par les profits de la traite des fourrures (Campeau, 1967 : 111). 158. ...

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... , serait restitué de part et d’autre » (Champlain, 1870 : V, 2e partie, 291). ...

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... Arrivée de l’auteur à Paris.  Ledit général ayant accommodé le fort et l’habitation de Québec de tout ce qu’il jugea être nécessaire166, il fit mettre en carène ses vaisseaux assez légèrement, pour les nettoyer, les goudronner et les suiffer. ...

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... Comme vraisemblablement Eustache Boullé et un Nicolas Blondel, il était libre, alors qu’Emery de Caën et François Gravé étaient traités comme des prisonniers de guerre, retenus chez des particuliers et soumis à des rançons (Champlain, 1870 : V, pièces ...

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... Le 15 janvier 1629, Louis XIII avait quitté Paris pour la Savoie. 194. Depuis le 14 janvier 1628. Il avait été inscrit par son épouse, Hélène Boullé (Trudel, 1979 : 420). ...

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... Barthélemy Quentin du Moulinet, marchand à Paris, associé depuis le 21 juillet 1628 et un des douze directeurs choisis en 1628 (Trudel, 1979 : 424). 199. ...

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... Ce titre ne se trouve pas dans la relation originale conservée à Paris dans les Archives du ministère des Affaires étrangères (Campeau, 1979 : 223). 205. Près de La Rochelle. 206. ...

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... les trois pièces de canon qu’il avait dans son navire, pour les mettre dans ledit fort, ayant même donné un écrit signé de sa main, par lequel il protestait ne pas lui permettre, ni à aucun autre Français, de pêcher dorénavant en ladite côte, ni de traiter ...