... Ne pouvant mettre pied à terre, la chaloupe s’en revint à la barque et les Sauvages retournèrent à terre, après avoir été traités humainement. ...
Au secours de l'Amérique française
... Ceux-ci avaient été exclus, le 9 février précédent, du monopole de la traite dont bénéficiaient le prince de Condé et ses associés dans la vallée du Saint-Laurent. ...
... L’an 1609, le sieur de Poutrincourt arriva à Paris. Le roi, en étant averti et ayant su que, contre l’opinion de Sa Majesté, il n’avait bougé de France, se fâcha fort contre lui. Mais pour contenter Sa dite Majesté, 5. ...
... Il était le provincial de Paris (Campeau, 1967 : 661). 22. Le père Massé était le compagnon du père Coton à la cour. Il était aussi le directeur spirituel de la marquise de Guercheville (Campeau, 1967 : 676). 23. Louis XIII. 24. ...
... Duquesne et Dujardin refusaient de tout prendre à leur charge, le monopole de la traite des fourrures ayant été refusé à Biencourt. ...
... abusés : ils devaient contribuer à l’entretien de la colonie de Port-Royal pendant un an et à l’achat de marchandises à échanger avec les Amérindiens contre des pelleteries, mais ils ne pouvaient espérer toucher que la moitié des profits de la seule traite ...
... Le contrat d’association fut passé avec ladite dame autorisée par monsieur de Liancourt, premier écuyer du roi et gouverneur de Paris, son mari. ...
... Charles de Biencourt était parti traiter avec les indigènes. Quant à Louis Hébert, il était déjà rentré en France (Thierry, 2008a : 457). 77. Il s’appelait La France (Campeau, 1967 : 438). ...
... J’en portai parole deux ou trois fois au révérend père Coton, qui ménageait cette affaire, lequel eût bien désiré que le traité se fût fait avec de moindres conditions, ou par d’autres moyens, qui ne pouvaient être à l’avantage dudit sieur de Mons, ce ...
... Le sieur de Mons était demeuré à Paris pour quelques siennes affaires et, espérant que Sa Majesté lui continuerait sa dite commission, il ne demeura pas beaucoup en repos que l’on ne criât plus que jamais qu’il fallait aller au Conseil. ...