Au secours de l'Amérique française

Au secours de l'Amérique française

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... En ce lieu, il y avait nombre de Sauvages qui y étaient venus pour la traite des pelleteries, plusieurs desquels vinrent à notre vaisseau avec leurs canots, qui sont de 8 ou 9 pas de long et environ un pas ou un pas et demi de large par le milieu et vont ...

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... froide que leur pays, et les deux autres122 d’autres côtes par-dedans les terres, où il y a des peuples sauvages errants qui ne vivent aussi que de la chasse123, et c’est le lieu où nos Sauvages vont porter les marchandises que nous leur donnons pour traiter ...

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... je désirais bien m’en retourner à notre habitation pour leur donner plus de contentement, et qu’ils pouvaient juger que je n’avais pas d’autre intention que d’aller faire la guerre, ne portant avec moi164 que des armes, et non des marchandises pour traiter ...

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... Les Voyages : Livre troisième 161 s’en retournèrent dans leur pays avec leurs femmes et les marchandises qu’ils avaient traitées. ...

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... Ce pauvre misérable jetait des cris étranges et il me faisait pitié de le voir traiter de cette façon. Toutefois, il était si constant qu’on eût dit qu’il ne sentait parfois aucune douleur. ...

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... Quand je le vis, je fis s’arrêter nos Sauvages qui rompaient la forteresse, afin que les nouveaux venus eussent leur part du plaisir. ...

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... Puis, chacune des nations 214. « Je me fis panser ma blessure par le chirurgien de Boyer, de Rouen, qui y était venu aussi pour la traite » dans les Voyages de 1613 (Champlain, 2008 : 223). 215. ...

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... Cela donna plus de sujet de mieux traiter mon garçon, lequel j’équipai de ce qui lui était nécessaire, et nous nous promîmes les uns aux autres de nous revoir à la fin de juin. ...

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... Voir Champlain, 2008 : 248. 239. « Aussi » dans plusieurs exemplaires des Voyages de 1632 (1re partie, 174). Les Voyages de 1613 contiennent seulement : « Se loua du bon traitement » (Champlain, 2008 : 249). ...

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... Dans ses Voyages de 1613, Champlain n’a pas évoqué la crainte des autres Amérindiens, mais celle des autres Français venus pour la traite : « Leur volonté en cachette, se fiant en moi. ...