Au secours de l'Amérique française

Au secours de l'Amérique française

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... Aussi n’est-il pas de tant de profit et d’utilité quant aux lieux où se font les traites de pelleteries. ...

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... Comme aussi il y a des femmes et des filles fort belles et agréables, tant en la taille et la couleur (bien qu’olivâtre) qu’aux traits du visage, le tout à proportion, et elles n’ont point le sein ravalé, que fort peu, si elles ne sont vieilles. ...

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... En échange, le maréchal de Thémines garantissait à la Compagnie du Canada le bénéfice du monopole de la traite des fourrures (Le Blant et Baudry : 371). 331. Guillaume Rangouze. ...

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... Le traité du 15 novembre 1613 accordait des appointements annuels de mille deux cents livres à Champlain (Le Blant et Baudry : 316-317). 341. ...

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... Ils vinrent à Paris, présentèrent leurs cahiers à messieurs du Conseil, lesquels leur accordèrent cet article347, sans avoir ouï les parties, qui étaient bien engagées dans cette affaire. ...

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... Le 27 mai 1617, Louis XIII confirma à la Compagnie du Canada le monopole de la traite des fourrures (Bérenger, 1984 : 13). 353. ...

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... A Paris, le 21 décembre 1619360. Ainsi signé, Pierre Dugua, Legendre, tant pour lui que pour les Vermeullen, Bellois et M. Duisterlo361. Collationné à l’original en papier. ...

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... Car à quoi penserait-on, que ces peuples ne veulent faire amas de pelleteries que pour leur usage, et traiter le reste pour avoir des commodités du magasin, dont ils ne se peuvent passer ? ...

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... Donné à Paris le 12e jour de mars 1618. Ainsi signé, Louis. Et plus bas, Potier. » Ils ne voulurent rien dire davantage que ce qu’ils m’avaient écrit, ce qui m’occasionna de faire ma protestation, et je m’en retournai à Paris. ...

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... Donc je partis de Paris avec ma famille, équipé de tout ce qui m’était nécessaire. ...