Au temps de la petite vérole

Au temps de la petite vérole

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... En juin 1697, il traîne en justice un confrère qui aurait traité un patient relevant de lui : « Partyes ouyes Veu la requeste du demandeur et que le deffendeur a dit quil a pensé le malade dont est fait mention en lad reqte, parce que led malade la voulu ...

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... natif du Languedoc, âgé de 36 ans, chirurgien établi en la ville de Québec, par Georges Mareschal, conseiller, premier chirurgien du roi, chef de la chirurgie et barberie du royaume, garde des chartes et privilèges dudit art, maître-chirurgien juré à Paris ...

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... ausquels il Sera permis d’en continüer l’exercice jusqu’a leur deceds ou a leur depart de cette Ville » et, en conséquence, faire « deffenses a tous chirurgiens qui pourraient Venir Sur les navires tant d’Europe et des pays etrangers que d’ailleurs, d’y traitter ...

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... Il est cependant vrai, comme le remarque Joseph Benoist lui-même, que le brevet de chirurgien major des troupes ne spécifie pas les lieux de traitement. ...

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... Gouvernement pour parler d’affaires concernant le Service du Roy143 ». Joseph Benoist se rend aussi à l’occasion « dans les côtes du gouvernement de Montréal pour y traiter et panser les soldats en garnison » et reçoit des gages en conséquence144. ...

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... Enfin, on lui donne chaque année une somme de 300 livres pour ses « Courses et voyages » pour traiter les Amérindiens ainsi que cela avait été institué à l’époque de Benoist et des gages de 25  livres par mois lui sont accordés comme chirurgien major150 ...

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... Monsieur Guyot, Répertoire universel et raisonné de jurisprudence civile, criminelle, canonique et bénéficiale, tome X, Paris, Chez Panckoucke, 1777, p. 517. ...

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... Le Chirurgien major doit encore avoir toujours devant ses yeux en faisant sa visite, le cahier de celle du jour précédent, pour observer plus surement si le malade ou blessé a été traité tant pour les alimens que pour les remèdes, comme il avoit été ordonné ...

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... Désirant profiter des « dispositions favorables » qui semblent caractériser l’attitude du ministre de la Marine, il sollicite en 1730 de ce dernier le passage gratuit en France pour son fils Claude et, « par le canal de quelques personnes », un emploi à Paris ...

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... Pendant trois ans, il travaille « chez les Peres de la Charité de paris  » et tout particulièrement auprès du «  Sr. Girard, Chirurgien de La Charité Lequel est amy et Parens du pére246 ». ...