Au temps de la petite vérole

Au temps de la petite vérole

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... En 1751, il loue les moulins à farine de Saint-Jean et de Sainte-Famille. ...

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... En 1801, sa famille n’a pas reçu de ses nouvelles depuis son départ. Charles Mauvide s’établit à Saint-Vallier comme marchand, mais décède vers 1770. ...

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... Les Lajus et les Soupiran, familles de Québec ayant fourni plusieurs générations de chirurgiens, valent entre 5  000 et 10  000  livres. ...

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... Outre des dettes actives de 22 587 livres, une somme de 35 921 livres en lettres de change ne sera que partiellement honorée. ...

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... Il traduit autant la richesse intrinsèque de l’individu et de sa famille que la dignité et le statut de sa fonction. De plus, il reflète autant la situation présente que 605. ...

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... Les garçons de la famille Soupiran, de Québec, sont chirurgiens 614. Il faut s’en doute voir dans cette carrière exceptionnelle l’influence de son oncle Jacques Baudry dit Lamarche, ancien chantre à SaintHonoré à Paris. ...

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... Après 1760, en ville, les destins des enfants continuent de varier d’une famille à l’autre et d’un enfant à l’autre. Les professions libérales, le commerce ou l’état ecclésiastique attirent toujours. ...

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... L’alliance avec la fille d’un chef de famille, bien enraciné dans son milieu comporte beaucoup d’avantages. La parenté est source potentielle de clientèle. ...

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... Lettres. 1867-1878. Lettre du docteur Joseph Painchaud à la Rév. Mère St-Zéphirin. 20 juillet 1869. Livres de comptes, vol. 3 (1757-1780) et vol. 4 (1780-1797). ...

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... Lettres envoyées. 1663-1774, 149 vol. Série C11A. Correspondance générale, Canada, 1458-1784, 126 vol. Série C11C. Correspondance générale, Amérique du Nord, 16611898, 16 vol. Série D2C. Troupes des colonies, 1627-1790, vol. 43-61, 222. Série E. ...