Aux origines du Barreau québécois, 1799-1849

Aux origines du Barreau québécois, 1799-1849

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... Il décède à Québec le  mai  et est inhumé dans la chapelle de la Sainte-Famille de la Basilique de Québec. Berthelot D’Artigny et Antoine Panet de la Cour des plaidoyers communs et de la Cour des prérogatives pour une période de deux mois. ...

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... une commission de notaire public de la province, exerçoit cette office aux Trois-Rivières, mais vivement sollicité par ses amis et autres notables citoyens de Québec (parmi lesquels il a souvent terminé des discussions contentieuses de commerce et de famille ...

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... Il y est écrit dans le préambule qu’il « est de la plus grande importance pour le bonheur et la tranquillité des familles, ainsi que pour la paix de chaque individu, qu’il n’y ait de commissionnés seulement pour agir et pratiquer comme Avocats, Procureurs ...

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... Rien de plus gai que ces dîners en famille, comme nous les appelions, et auxquels assistaient aussi le shérif et les greffiers. ...

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... . )1 ÉTANT un objet de la plus grande importance pour le bonheur et la tranquilité des familles, ainsi que pour la paix de chaque individu, qu’il n’y ait de commissionnés seulement, pour agir et pratiquer comme Avocats, Procureurs, Solliciteurs, Praticiens ...

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... candidat ainsi admis prêtant serment de bien et fidèlement remplir ses devoirs professionnels ; lequel serment sera administré par le secrétaire de la section, qui en fera mention sur le dos du diplôme ; pourvu que le dit diplôme sera enregistré en toutes lettres ...

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... Chacun peut indiquer son remède pour ce mal ; pour moi, je trouve qu’il n’en serait pas ainsi si chacun restait à sa place, si chacun n’embrassait plus qu’il n’est capable d’exécuter, et si personne n’engageait imprudemment et souvent par orgueuil de famille ...

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... Annexes ce ne serait au moins qu’un mal individuel ; mais la société toute entière en souffre souvent ; la vie, le repos, les propriétés des familles deviennent les victimes de leurs fautes, et on ne s’en aperçoit souvent que lorsqu’il n’est plus possible ...