Aventurier du hasard (L')

Aventurier du hasard (L')

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... Nommé conseiller au Parlement de Pau et réformateur des eaux et forêts de Béarn après la mort de sa femme en 1663, il quitta définitivement Paris pour aller ...

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... La mariée, apparentée aux Bragelonne de Paris, apportait dans sa corbeille une dot et divers avantages évalués à plus de 20 000 livres. ...

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... Son oncle Bragelonne ne lui avait-il pas raconté qu’on avait écartelé à Paris, sur la place publique, un de ses amis qui avait blasphémé : après lui avoir coupé les cheveux et la langue, on avait attelé un cheval à ses mains et un autre à ses pieds, puis ...

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... De gros in-quarto sur la géographie, l’histoire, l’astronomie, des dictionnaires, des traités de philosophie, tout Thomas d’Aquin, Aristote, Platon, quelques centaines de petits in-douze contenant des relations de voyages : celles des jésuites au Canada ...

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... Malgré ses efforts, il ne réussit pas à faire émerger les traits de son visage. Seul le regard, vif et ironique, se détachait de sa silhouette imprécise, mais peut-être inventait-il tout cela faute de l’avoir gravé en lui. ...

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... Il voyait bien que se trouvait là, beaucoup plus qu’à Québec, le cœur du réseau de la traite des fourrures, seule richesse de la colonie. Les jours suivants, il poursuivit sa lecture, sans grande passion mais avec intérêt. ...

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... Il commençait à imaginer Montréal, carrefour de la traite des fourrures, avec ses rapides de Lachine, que, faute de canots d’écorce, ni Cartier ni Champlain n’avaient pu franchir. Il meublait ces longues journées monotones par la lecture. ...

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... Tu dois le traiter délicatement. Quand tu sais t’en servir, y a pas mieux. D’abord, tu vas le lever avec moi, pis le mettre sur ton épaule. ...

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... Tu comprends, ils seraient ben fous de traiter avec nous quand ils peuvent avoir mieux ailleurs. Pis, tu sais, tant qu’à me battre, j’aime mieux contre les Agniers que contre les Anglais. ...

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... Sur une question de Lahontan, Gilbert repartit, déchaîné : — Ces maudits jésuites, ils passent leur temps à dire du mal de nous, à essayer de nous empêcher d’avoir des congés de traite, mais ils nous courtisent en même temps pour qu’on leur donne gratis ...