... Au Château Dufresne La rentrée en belles-lettres, dans ce nouveau palais de marbre, fut une déception plutôt amusée qu’amère. ...
Aventurier et ambassadeur
... Je travaillais aussi à la tourbière de la famille Roy et je gagnais un petit salaire qui me permettait d’accumuler un modeste ...
... À l’externat, à la rentrée de 1952 en classe de rhétorique, une surprise m’attendait : les deux classes de belles-lettres étaient réunies dans un seul groupe de plus de cinquante élèves, logés dans un grand local situé sous le terrain de jeux, probablement ...
... Découverte de l’amour Le début de l’été fut consacré à une lettre si longue, dès le premier jour, que je décidai de rédiger un important cahier cartonné d’au moins cent pages, que je remplis dans un état de transe absolu, en deux ou trois jours : je lui ...
... Ce résultat collégial fut alors connu en dehors de Stanislas et ma « fiancée » Claire en fut fière, autant que ma famille. Avec Claire, nous parlions déjà, avec assurance et naïveté, de notre avenir. ...
... J’écrivais à Claire de longues lettres, chaque jour. Elle me répondait en m’expliquant sa solitude et l’autorité indue que ses parents lui imposaient. ...
... chapitre 8 Quatre années à l’Université de Montréal (1955-1959) P our devenir avocat et faire vivre une famille à fonder avec Claire, il fallait passer quatre longues années à la Faculté de droit, pour obtenir une licence, soit trois années d’études ...
... Elle avait un modeste emploi de secrétaire qui ne lui plaisait pas, se sentant en captivité dans sa famille et rêvant de Paris ou de la Hollande où son père serait bientôt transféré. ...
... Personne dans ma famille ou à l’université ne me parla de la triste fin de ma grande histoire d’amour qui avait commencé le jour de mes 18 ans. ...
... Au matin, épuisés, nous fûmes sauvés par mon ami Philippe Guérin qui nous fit accueillir dans une famille aristocratique, les Baynard de Bast, dont deux filles avaient été mes amies lorsqu’elles étudiaient à Marie-de-France. ...