... Ayant déposé mes effets personnels au collège, je me rendis rapidement à Paris, pour y retrouver la Seine, ses monuments, sa joie de vivre, mes paysages balzaciens, puisque je m’étais précipité chez le célébrissime éditeur José Corti qui trônait au jardin ...
Aventurier et ambassadeur
... C’est une scène que je n’oublierai jamais, au même titre que la fondation de la Ve république par le général de Gaulle, à Paris, en septembre 1958, trois ans plus tôt, une scène que j’ai déjà décrite. ...
... Je n’étais pas complètement dépourvu puisque je pouvais séjourner à la Maison canadienne de Paris ou encore en Belgique, où la famille Grimonprez était prête à me recevoir. De toute façon, il me fallait d’abord récupérer ma voiture en Allemagne. ...
... Je démarrai ma Volkswagen et pris la route de Paris, conscient qu’une page précieuse et triste à la fois devait être tournée. Seul mon autre grand amour, la ville de Paris, pouvait me consoler. ...
... l’Espagne ensoleillée, en suivant les conseils du guide de voyage Europe on five dollars a day, connu des étudiants européens qui, d’auberges de jeunesse en pensions de famille, voulaient découvrir l’Europe, où les touristes étaient, à cette époque, traités ...
... Après Lisbonne, j’étais revenu à Paris. ...
... ch a pitre 11 • D’Oxford à l’Afrique (1960-1962) 143 culture française et amoureuse de Paris, elle s’y installa en 1958, divorça de son mari et voyagea en Espagne, en Italie et surtout en Grèce. ...
... J’allais vivre une dizaine de jours chez Patricia Moore, à Chelsea, au cœur de Londres, avant d’arriver à Chamonix via Paris. ...
... Sinon, après une période d’essai, on me libérerait et j’attendrais mon visa pour l’Afrique à Paris, Londres ou Bruxelles. ...
... N’ayant rien à perdre, je le conduisis à Paris et surtout à Londres, où Patricia nous logerait. Sur place, Bob et Patricia devinrent amoureux et cette amie journaliste approuva enfin ma volonté de partir en Afrique. ...