... Où que nous soyons, en vingt-quatre heures nous revenons à Paris, tu prépares ton départ et tu seras libre. ...
Aventurier et ambassadeur
... J’avais revu Étienne Tshisekedi, notre directeur congolais, originaire du Sud-Kasaï, déjà rencontré à Paris et un des très rares universitaires congolais formé en Belgique, comme juriste. ...
... Il commença, sans retard, à me traiter comme un ami, me parlant sans détour : « Voyez-vous, mon cher, ce pays est une sorte de continent, tellement il est vaste, d’est en ouest et du nord au sud. ...
... Un après-midi, alors que je lisais Le Monde de Paris sur la terrasse de l’ONU, un couple s’approcha de ma table pour me saluer. C’était George Nihan et son épouse Anne, que j’avais rencontrée quelques semaines plus tôt. ...
... En 1917, il s’était présenté à l’ambassade de Russie à Paris pour s’enrôler dans l’armée tsariste aux prises avec l’invasion des armées du kaiser Guillaume II. ...
... Notre voyage de l’été 1963 à Antibes, en Espagne, à Paris, Liège, Montréal, Saint-Fabien-sur-Mer, Percé et Ottawa fut un perpétuel plaisir. Puis Annou partit pour Léo, décidée à refaire le décor de notre villa, de fond en comble. ...
... La colonne se replia sur Bukavu et les blessés, traités à la morphine, furent évacués sur Bruxelles. Le journal Le Soir publia un article sur l’accrochage en donnant le nom des victimes. ...
... Avec mon frère Claude, étudiant à Paris, nous l’avons donc accompagnée, grâce à mon bel autobus, au Luxembourg, en Belgique, en Hollande et en Allemagne pendant près d’un mois, y compris un double séjour parisien. ...
... Mais ce dernier n’avait pas répondu, même s’il avait très bien accueilli « son ami Johnson » à Paris… En mars 1967, une sorte de coup de tonnerre vint me frapper à la réception d’un télégramme que j’ai conservé jusqu’à ce jour dans mes archives. ...
... Paris, juillet 1967 : une nouvelle fille ! À Bruxelles, le docteur Leclerc nous révéla une autre joie, sans prix : Annou portait un troisième enfant, qui naîtrait au Canada au printemps 1968. ...