... On dirait que vous parlez de moi comme d’une brute… — Non, bien sûr, mais je sais par expérience qu’on ne connaît jamais vraiment les gens, et tu serais surpris des histoires racontées par les femmes de la famille ! — Que voulez-vous dire ? ...
Bâtisseur (Le)
... . — Ma fille… je veux dire, notre fille… Marie-Olivine… nous a dit que vous songiez sérieusement à vous établir et à fonder une famille… — Oui, monsieur. C’est pourquoi j’ai l’audace de vous demander la main de mademoiselle Marie-Olivine. ...
... L’absence des membres de la famille se prolonge, et JosephÉmile en profite pour garder la main de Marie-Olivine dans la sienne. ...
... Les deux familles réunies chez les Pariseau partagent un excellent repas préparé par madame Pariseau et ses filles. ...
... . — Il ne faudrait pas trop attendre, Marie-Olivine, car la famille Pariseau est dispersée et vous devez prévenir les gens suffisamment en avance pour qu’ils puissent s’organiser afin d’assister au mariage. — Oui, je sais, madame Vanier, mais maman aimerait ...
... La soirée se poursuit sans encombre, et les deux familles se séparent en bons termes. Mai 1881 Joseph-Émile continue de venir voir sa fiancée les jeudis soirs et les samedis soirs. ...
... Je pense que vous aurez assez de temps pour prévenir les membres de votre famille. — Ma pauvre petite, tu ne pourras pas compter sur tes cadeaux de mariage… — Peu importe les cadeaux, madame. ...
... Les deux jeunes gens sont rejoints par d’autres hommes de la famille qui ont compris que le jeune couple va bientôt les quitter. — Alors le frère ? Prêt pour la « grande nuit » ? — Joseph ! Bon sang ! S’il fallait que ma belle-mère t’entende ! 83 ...
... Marie-Olivine, un peu ébranlée, se le tient pour dit, mais poursuit quand même ses dévotions avec sa famille. Cependant, sur les conseils de son mari, elle veille à répéter mot pour mot à sa mère ses exigences. ...
... Même s’ils ne se parlent pas beaucoup, ils sont heureux de leur sort et espèrent fonder une famille dès que possible. ...