Catherine de Baillon

Catherine de Baillon

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... On ne peut certainement pas dire que l’union qui se pré­ pare soit un de ces «  bons  » mariages, faits de terres et biens dans la corbeille. Mais, après tout, il y a beaucoup d’ar­ gent à gagner dans la traite des fourrures. ...

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... Il y a fort à parier que Catherine Marie n’est pas étrangère à la démarche  : ne dit-on pas ce que femme veut, Dieu le veut  ? Autorisation est donnée, à Ignace Durand, de réunir un con­ seil de famille composé de parents et d’amis, à qui ...

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... On était bien loin de ce Paris grouillant de popu­ lation et d’activité  ! ...

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... Ceci étant, il y a fort à croire qu’en femme d’expé­ rience la veuve de Pierre Miville apporta à sa belle-fille venue de Paris un soutien et des conseils précieux. ...

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... Si bien que la cam­ pagne de traite des fourrures ne rapporta à la société ...

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... Ce n’est qu’à partir du xviie siècle que la femme ne dort plus nue, mais se couvre d’une chemise de nuit. Son mari revêt une chemise à longs pans et s’affuble d’un bonnet de nuit. Dibie, Pascal, Ethnologie de la chambre à coucher, Paris, éd. ...

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... Quant au parrain, Nicolas de Mouchy, peut-être celui-ci était-il en parenté avec cette demoiselle de Mouchy qui, à Paris, faisait alors partie du personnel de l’hôpital de la Salpêtrière. ...

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... 70 catherine de baillon La fin de l’année 1670 ne fut guère brillante en ce qui con­­ cernait la campagne de traite des fourrures  ; et puis l’année 1671 fut une année très difficile elle aussi, au moins jus­ qu’à la dissolution de la société de traite ...

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... et à la Rivière-Ouelle signeront une pétition réclamant que leur soit confirmé le droit de traite avec ces ...

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... À la Grande-Anse même on ne faisait pas que la traite des fourrures. L’endroit bénéficiait d’un sol très fertile, donc pro­ pice à l’agriculture et composé principalement d’argile. ...